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Mon frère le vent

Mon frère le vent

Titel: Mon frère le vent
Autoren: Sue Harrison
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à tous ceux qui sont venus à bout des encombrantes pages du manuscrit dans ses différentes versions : mon mari, ma fille, mes parents, ma sœur Patricia Walker et mon amie Londa Hudson. Merci à vous tous !
    Je sais gré à Sandy Benson d'avoir tapé mes notes de recherche et à mon époux pour son travail d'informatique sur la carte et la généalogie.
    Je manquerais à tous mes devoirs si je n'exprimais pas ma reconnaissance à l'Alaska Native Language Center, situé sur le campus Fairbanks de l'université d'Alaska. Ses publications sur les langues indiennes, aleut et eskimo, sont un véritable cadeau au monde.
    J'exprime ici mon respect et mon estime pour maints auteurs dont les ouvrages et les articles — depuis les premiers écrits de Veniaminov jusqu'aux articles récents en attente de publication — ont constitué les fondations sur lesquelles j'ai bâti mes histoires. Bien que les noms se comptent par centaines, la place ne me permet que d'en mentionner quelques-uns : Lydia Black, Raymond Hudson, William S. Laughlin, Steve J. Langdon, George Dyson, George L. Snyder, George D. Fraser, David W. Zimmerly, F. Krause, Derek C. Hutchinson, Otis T. Mason, Patricia H. Partnov, Wal-demar Jochelson, Alés Hrdlicka, Margaret Lantis, Ivan Veniaminov, Ethel Toss Olivier, Farley Mowat, Richard K. Nelson, Frances Kelson Graham, Barry Lopez, John McPhee, Howard Norman, Edna Wilder, James Kari, Knut Bergsland, Moses Dirks et Lael Morgan.
    Toute erreur historique ou scientifique dans mon roman est entièrement mienne et en aucun cas la faute des chercheurs ou auteurs dont j'ai cité les ouvrages.
    Enfm, toute ma gratitude à mon agent, Rhoda Weyr, et à mes éditeurs, Bob Mecoy et Ellen Edwards, qui savent aplanir les difficultés et arrondir les angles. Grâce à leur enthousiasme, leur perspicacité et leur professionnalisme, travailler avec eux est un pur enchantement.
    NOTES DE L'AUTEUR
    Une des joies qui ont accompagné la publication de mes romans fut l'occasion de voyager comme conférencière invitée. Comme le temps me manquait de rencontrer tous mes lecteurs, j'ai décidé de répondre par le truchement de ces notes d'auteur aux questions que l'on me pose le plus fréquemment : où je trouve mes idées ; comment ai-je développé la « voix » ou le style d'écriture de chaque roman ; quelle part de mes romans est symbolique ; et pourquoi j'utilise une voix intérieure pour certains de mes personnages.
    Je suis certaine qu'on demande à presque tous les romanciers où ils trouvent leurs idées et je ne doute pas non plus qu'ils en ont presque tous beaucoup plus que moi. (Apparemment, j'ai une bonne idée tous les deux ans.) Heureusement pour moi, les idées de récits abondent dans les légendes, les mythes et les traditions des Indiens d'Amérique ; aussi leur ai-je emprunté beaucoup dans le développement de mes personnages et dans les grandes lignes de mon récit. Mon frère le vent étant le dernier volume de la trilogie, il s'appuie naturellement sur les légendes et les récits constituant la base des deux premiers, Ma mère la terre, mon père le ciel et Ma sœur la lune.
    Ces légendes comprennent la légende loutre aleut, les mythes de la lune des Pueblos et des Osages, l'histoire aleut du mariage du Corbeau, les récits oraux inuit d'une mère cachant le fils d'un ennemi, les légendes des hommes Glace Bleue ; les histoires des jumeaux Ojib-way, les légendes orientales du tigre (dont on trouve la contrepartie dans la tradition aleut de la chasse à la baleine), les histoires aleut de Shuganan et des Hommes du Dehors, diverses légendes sur la création, et les légendes du corbeau-tricheur. En outre, Mon frère le vent est aussi fondé sur une légende indienne du nord-ouest à propos d'un homme à une main et d'une très belle femme qui ont sauvé leur tribu de guerriers en maraude, sur les traditions du corbeau et du porc-épic Athabascan.
    Les « voix » (parfois appelées styles d'écriture) que j'ai développées pour cette trilogie prennent leur source dans les schémas des rythmes et des voix appartenant aux langues des Indiens d'Amérique. Ces configurations sont extrêmement différentes de celles de l'anglais parlé et particulièrement incompatibles avec les mots anglais polysyllabiques. Les schémas rythmiques indiens (qu'on me permette de préciser ici qu'il existe des milliers de langues indiennes et que je n'en ai étudié qu'une poignée) possèdent souvent une base non accentuée -
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