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Les disparus

Titel: Les disparus
Autoren: Daniel Mendelsohn
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finalement, aussi efficace qu'Alex
Dunai à L'viv ; il a été, depuis près de dix ans maintenant, mon bras droit
dans ce projet dont le livre est le point culminant. Pour ses efforts
inlassables, je suis plus reconnaissant que je ne puis le dire. Tout a commencé
avec un collègue estimé qui est devenu, avec sa famille, un ami cher.
    Une aide inestimable m'a été apportée pour les problèmes
techniques d'archives par un groupe de jeunes gens talentueux dont je suis heureux
de signaler la contribution : Nicky Gottlieb, pour sa magie avec les
calendriers ; Henryk Jaronowski, à qui je dois quelques photographies capitales
; Arthur Dudney, dont les traductions du polonais m'ont épargné bien des
erreurs ; et mes benjamins, Morris Doueck et Zack Woolfe : « De vos
étudiants, vous apprendrez. »
    Un petit cercle d'amis chers et proches ont joué un rôle
crucial en s'assurant que j'irais jusqu'au bout de ce long projet : Chris
Andersen, Glen Bowersock et Christopher Jones, Istvan et Gloria Deak, Diane
Feldman, Lise Funderburg et John Howard, Bob Gottlieb et Maria Tucci, Renée
Guest, Jake Hurley, Lily Knezevich, Laura Miller et Stephen Simcock. Donna
Masini a été tout ce qu'on peut attendre d'une meilleure amie ; Patti Hart a
été un soutien inestimable. Myrna et Ralph Langer, ainsi que leur vaste
famille, ont toujours procuré une affection solide et leurs encouragements,
particulièrement estimables pendant ce projet, à moi et aux miens ; je suis
particulièrement heureux d'avoir en Karen Isaac une correspondante Instant
Message, à la fois aimante et encourageante. Ma dette à l'égard de Froma
Zeitlin, que je suis heureux de reconnaître chaque fois que j'en ai l'occasion,
devrait être évidente à la lecture de ces pages ; ce livre n'aurait pas pu,
littéralement, être écrit sans elle – et sans son mari, George, hôte
généreux depuis toujours et, plus récemment, compagnon de voyage infatigable à
Vienne, en Israël et en Lituanie. Mes voyages en compagnie de Lane Montgomery
m'ont permis de parcourir, je peux le dire sans crainte, toute la gamme de la
notion de bien-être ; je lui suis très reconnaissant de sa contribution au
second voyage, si émouvant, que nous avons fait ensemble. Dès le début de ce
projet, Nancy Novgorod et son mari, John – qui ont écouté d'une oreille
très sympathique mes récits de voyage en Galicie –, ont été des sources
chéries d'amitié et d'encouragement. Je suis reconnaissant à Nancy, dans sa
position de rédactrice en chef, pour sa tolérance et sa patience qui m'ont permis
de prendre du temps par rapport à mes obligations envers elle pour terminer ce
livre ; Bob Silvers à la New York Review ofBooks a été, lui aussi, d'une
générosité exceptionnelle à cet égard, comme il l'a toujours été dans d'autres.
    Aucun ami, cependant, n'a joué un rôle aussi vital pour
l'écriture de ce livre que ne l'ont fait Louis et Anka Begley. Ce serait un
euphémisme que de dire qu'ils ont partagé avec moi beaucoup de choses très
importantes. Une infime partie de cela a consisté dans   la
semaine d'hospitalité cruciale au cours de laquelle j'ai pu mettre un point
final à mon travail.
    Ce travail
a été, depuis le début, une collaboration formidablement plaisante avec mon
éditeur, Tim Duggan, et les mérites que ce livre peut avoir lui doivent
beaucoup. Son enthousiasme initial pour le projet, sa patience à mesure qu'il
grandissait en échelle et en taille (ainsi qu'en durée), son professionnalisme
impeccable, le talent avec lequel il a équilibré une sensibilité d'éditeur
aiguë et une réceptivité profonde à l'égard de mes intentions, ont fait de
l'écriture de ce livre une expérience joyeuse et, au bout du compte, une
expérience dont j'ai beaucoup appris.
    En France,
ce travail a été aussi joyeux qu'aux États-Unis ; je suis suprêmement
reconnaissant à l'égard de l'équipe Flammarion : à mes excellents et gentils
éditeurs, Hélène Fiamma et le très patient Mathieu Romain ; et à l'inlassable
attachée de presse Francine Brobeil. Quant à la réussite sidérante de mon
traducteur, Pierre Guglielmina, je préfère emprunter ici les mots prononcés par
Hélène lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois à Paris :
« Je pense que ce livre pourrait être encore meilleur en français qu'il
l'est en anglais ! »
    Une fois encore, je vais finir là où j'avais commencé. Je
venais de terminer mes études de deuxième
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