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La Papesse Jeanne

La Papesse Jeanne

Titel: La Papesse Jeanne
Autoren: Donna Cross
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d’entériner tout
pape nouvellement élu.
     
    828 : Les
Normands pillent Dorstadt.
     
    829 :
Gottschalk est libéré de ses vœux monastiques lors du synode de Mayence.
     
    833 :
Lothaire, fils de Louis le Pieux, mène la rébellion de ses frères contre leur
père. Trahi, puis défait au Champ du Mensonge, Louis est déposé.
     
    834 : Une
contre-rébellion remet Louis le Pieux sur le trône. Il pardonne à ses fils et
leur restitue leurs domaines et privilèges.
     
    840 : Louis
le Pieux meurt. Lothaire lui succède.
     
    841 : Les
frères de Lothaire, Charles et Louis, se soulèvent contre lui. Les armées
royales s’affrontent à Fontenoy le 25 juin. Ce sanglant massacre laisse l’empire
sans défense face aux attaques normandes.
    844 : Le
pape Grégoire meurt. Serge est élu à sa place. Les armées franques descendent
sur Rome pour faire respecter la Constitutio Romana.
    Les Normands
mettent Paris à sac.
     
    846 : Les
Sarrasins attaquent Rome et pillent la basilique Saint-Pierre.
     
    847 : Le
pape Serge meurt. Élection de Léon. Début de la construction du mur léonin.
     
    848 :
Incendie du Borgo. Gottschalk avance sa théorie de la double prédestination.
     
    849 : Les
Sarrasins sont vaincus sur mer à Ostie.
     
    852 : Le mur
léonin est achevé et consacré le 27 juin.
     
    853 : Léon
meurt. Jeanne est élue pape.
     
    854 : Synode
de Rome.
    Crue du Tibre.
     
    855 : Mort
de Jeanne. Anastase s’empare du trône pontifical mais en est chassé deux mois
plus tard. Benoît devient pape.

REMERCIEMENTS

      Pour leur
assistance au cours de mes recherches, je dois ma reconnaissance à Lucy Burgess
de Cornell, à Caroline Suma du Pontifical Institute for Medieval Studies de
Toronto, à Eileen DeRycke de l’université de Syracuse, à Elizabeth Lukacs du
Lemoyne College, au D r Paul J. Dine, au D’Arthur Hoffman, et à M.
John Lawrence, ainsi qu’au personnel des bibliothèques de Vassar College et de
Hamilton College, de l’université de Pennsylvanie, et de l’université de
Californie à Los Angeles. Je remercie tout spécialement Linda McNamara, Gail
Rizzo et Gretchen Roberts de l’Onondaga Community College, qui ont déployé une
énergie et un talent inépuisables pour m’obtenir de nombreux livres rares dans
diverses bibliothèques, tant aux États-Unis qu’à l’étranger. Merci aussi à Lil
Kinney, à Liz Liddy et à Susan Brown pour leurs fructueuses recherches, qui ont
permis de dénicher de nombreuses informations peu connues concernant le neuvième
siècle.
    Un certain nombre
de personnes ont lu le manuscrit à divers stades de sa rédaction et m’ont
éclairée de leur compétence. Je remercie le D r Joseph Roesch, Roger
Salzmann, Sharon Danley, Thomas McKague, David Ripper, Ellen Coin, Maureen
McCarthy, Virginia Ruggiero, John Starkweather, et ma mère, Dorothy Woolfolk.
Leurs suggestions ont rendu ce livre incommensurablement meilleur qu’il ne l’était.
    Je tiens aussi à
remercier mon agent, Jean Naggar, qui a accepté de s’engager au vu d’un
manuscrit partiel ; Irene Prokop, mon premier éditeur chez Crown, dont la
chaleur et l’enthousiasme m’ont tellement encouragée ; et Betty A.
Prashker, qui a pris le relais après le départ d’Irene.
    Je dois encore
remercier ceux qui m’ont soutenue tout au long de mes sept années de recherches
et d’écriture : ma fille, Emily, et mon mari Richard, combattants de
première ligne ; ma belle-sœur, Donna Willis Cross, qui a cru en ce livre
et en moi à des moments où ma propre confiance vacillait ; Mary Putman,
qui a assumé de lourds fardeaux afin que je sois plus libre d’écrire ;
Patricia Waelder et Norma Chini, fidèles alliées sur lesquelles j’ai pu compter
sans interruption ; Susan Francesconi, dont la compagnie lors de nos
longues marches a beaucoup contribué à préserver ma santé mentale ; Joanna
Woolfolk, Lisa Strick, James McKillop, et Kathleen Eisele. Comme le disait
Shakespeare, « je suis riche de mes amis ».
    Et par-dessus
tout, je voudrais remercier mon père, William Woolfolk, à qui ce livre est
justement dédié : sans ses conseils et ses encouragements constants, il n’aurait
jamais été écrit.

QUELQUES MOTS SUR L’AUTEUR
    Munie d’une
licence d’anglais, décrochée en 1969 à l’université de Pennsylvanie avec les
félicitations du jury, Donna Cross  – ou plus exactement Donna Woolfolk
Cross, car elle tient beaucoup à conserver à la fois son nom
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