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Gisors et l'énigme des Templiers

Gisors et l'énigme des Templiers

Titel: Gisors et l'énigme des Templiers
Autoren: Jean Markale
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Richard Bordes, Les Mérovingiens et Rennes-le-Château ,
P. Schrauben, éditeur, 1984 : il y a là de quoi faire montre de
scepticisme.
    [13] Certains de ces « dossiers secrets » ont
été publiés par le Prieuré de Sion lui-même dans un ouvrage intitulé Le Livre des Constitutions , 1956, éditions des Commanderies
de Genève. Ceux qui se réclament du Prieuré prétendent que le moment était venu
de divulguer ce qui était autrefois tenu secret.
    [14] Jean Robin, ibid .,
p. 84.
    [15] Jean-Pierre Bayard, L e Symbolisme
maçonnique des hauts grades , Paris, éd. du Prisme, 1975, p. 259.
    [16] Il faudrait aussi parier de la « colline
inspirée » de Sion-Vaudémont en Lorraine. Au XIX e  siècle,
un prêtre, quelque peu illuminé entreprit de faire de la colline de Sion un
« haut lieu » spirituel. Ce prêtre, Léopold Baillard, aidé de ses
deux frères, parvint, après bien des difficultés, à y créer un « Institut
des frères de Notre-Dame de Sion-Vaudémont » qui ne fut pas en odeur de
sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Il est vrai que cette affaire
traînait des ombres un peu suspectes. Quoi qu’il en soit, Maurice Barrés en a
profité pour faire connaître, par son ouvrage, cette « colline
inspirée » de Sion dont le nom allait devenir un symbole. Il n’est donc
pas étonnant qu’on se soit servi du nom de Sion pour l’opération que l’on sait.
    [17] Alain Demurger, Vie et mort de
l’Ordre du Temple , Paris, Le Seuil, 1985, p. 129.
    [18] Georges Bordonove, La vie
quotidienne des Templiers au XIIIe siècle , Paris, Hachette, 1975,
pp. 117-118.
    [19] Actuellement, ce bâtiment appartient à un membre d’un
« Groupe international d’études templières » qui le restaure avec
beaucoup de soin. On peut ainsi espérer que cet émouvant vestige templier sera
sauvé et mis en valeur.
    [20] On trouvera dans la revue Heimdal ,
n° 26 (1978), en même temps qu’un article de Michel Bertrand sur
« les Templiers en Normandie », un plan et une coupe de cette maison
templière.
    [21] Alain Demurger, Vie et mort de
l’Ordre du Temple , p. 155.
    [22] On peut voir un plan de la chapelle templière de Laon
dans Heimdal , n° 26, p. 9.
    [23] Alain Demurger, Vie et mort de
l’Ordre du Temple , p. 155.
    [24] Il s’agit en fait d’une autre version de
l’enfermement de l’enchanteur Merlin par la fée Viviane dans un château
invisible. Voir du même auteur, Merlin l’Enchanteur ,
Paris, Retz, 1981, p. 61 et pp. III 124.
    [25] Du même auteur, Les Celtes et la
civilisation celtique , Paris, Payot, 9 e éd. 1985,
p. 281.
    [26] Ce n’est pas impossible. Le légendaire irlandais du
Haut Moyen Âge est rempli de navigations merveilleuses et de débarquements dans
des pays étranges. Le problème est qu’il est impossible de démêler les éléments
qui pourraient être des souvenirs historiques de la structure mythique
elle-même. Voir, du même auteur, L’Épopée celtique d’Irlande ,
Paris, 2 e  éd. 1978, pp. 122-128 (la maladie de
Cûchulainn).
    [27] Louis Charpentier, Les Mystères
templiers , Paris, R. Laffont, 1967.
    [28] À l’exception de la Croix latine, représentation de
la crucifixion, et que rejetaient à la fois les Cathares et les Templiers.
    [29] M.-R. Mazières, Les Templiers
de Bézu , Rennes-le-Château, Philippe Schrauben , éd. 1984, p. 30.
    [30] Foucher de Chartres, Historia
Hierosolymitana .
    [31] Saint Bernard de Clairvaux, Textes
politiques , réunis et traduits par Paul Zumthor, Paris, 10/18,
Bibliothèque médiévale, 1986, pp. 197-198.
    [32] Textes politiques ,
p. 202.
    [33] Redoutable argument qui justifie par avance la
Croisade contre les Albigeois et les massacres des Protestants.
    [34] Bernard oublie certains exemples du passé, en
particulier la façon dont Charlemagne a converti les Saxons.
    [35] Du même auteur, Le Christianisme
celtique et ses survivances populaires , Paris, éd. Imago, 1984.
    [36] « Éloge de la nouvelle Milice », Textes politiques , pp. 202-203.
    [37] Dans l’église du Temple de Londres, on montre
toujours le gisant de Geoffroy de Mandeville. Mais c’est un faux : il date d’au
moins cinquante ans après l’inhumation prétendue, et, de toute façon, le blason
qui s’y remarque n’est pas celui des Mandeville.
    [38] Il faut signaler, c’est un détail qui ne manque pas
de sel, que le grand-maître Jacques de Molay était le parrain du fils du roi,
au mépris de la Règle qui
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