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Gisors et l'énigme des Templiers

Gisors et l'énigme des Templiers

Titel: Gisors et l'énigme des Templiers
Autoren: Jean Markale
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interdisait aux Templiers ce genre de situation. Cela
dénote les meilleurs rapports entre Jacques de Molay et Philippe le Bel.
D’ailleurs, en 1306, lors d’une émeute des Parisiens, c’est dans l’enclos du
Temple que le roi de France viendra se réfugier.
    [39] Les quelques fragments qui subsistent de ce vaste
programme ont été intégrés dans un document aragonais datant du début de 1308. H. Finke, Papsttum
und Untergang des Templerordens , Munster, 1907, vol. II,
p. 118. Commentaire dans le même
ouvrage, vol. I, pp. 121-122. Voir Norman Cohn, Démonolâtrie et
sorcellerie au Moyen Âge, Paris, Payot, 1982, p. 109.
    [40] C’est la thèse, en particulier, de Heinrich Finke, au
début du siècle, et de Norman Cohn, dans son ouvrage Démonolâtrie
et sorcellerie au Moyen Âge.
    [41] Encore moins une soi-disant Règle secrète qui sera
publiée plus tard.
    [42] Guy Fau, L’affaire des Templiers ,
Paris, le Pavillon, 1972, p. 61.
    [43] Guy Fau, L’affaire des Templiers ,
p. 143.
    [44] Cela a été démontré par H. de Curzon. La règle du Temple , Paris, 1886, P. XV. Voir aussi
L. Dailliez, L es Templiers et les règles de l’Ordre du
Temple , Paris. Belfond, 1972.
    [45] N’en déplaise à l’école dite
« guénonienne » qui s ’ acharne à d é couvrir des similitudes entre les traditions chr é tiennes
occidentales et certaines h é r é sies de l’Islam. Des similitudes, on en trouve bien
entendu entre l’Islam et le Christianisme, puisque les deux traditions, plus la
tradition judaïque, sortent du même moule primitif, à savoir les premiers
livres de la Bible. Mais Christianisme et Islamisme ont eu largement le temps
de se différencier, et chacune des deux traditions a englobé d’autres
traditions plus voisines, plus proches, qui les ont constamment et
considérablement modifiées. La synthèse est une chose excellente, mais le syncrétisme , qui consiste à coller artificiellement des
notions disparates, n’a jamais rien donné que des à-peu-près affligeants.
    [46] L’auteur de ces lignes a-t-il oublié que les
Templiers sont des moines ?
    [47] Célèbres reliques conservées à Cologne. D’après la
légende, il s’agit de sainte Ursule et de dix mille neuf cent
quatre-vingt-dix-neuf vierges consacrées qui furent tuées par les Huns parce
qu’elles se refusaient à eux.
    [48] « Mauvais fé  »,
c’est-à-dire « mauvais génie ».
    [49] Idries Shah, Les Soufis et l’ésotérisme ,
Paris, Payot, 1972.
    [50] Albert Ollivier, Les Templiers ,
Paris, Le Seuil, 1958, p. 76.
    [51] On peut lire à ce sujet l’excellent livre de Jean
Tourniac, De la chevalerie au secret du Temple , Paris,
éd. du Prisme, 1975, où l’auteur fait le point des convergences possibles des
doctrines chrétiennes orientales sur la doctrine occulte du Temple.
    [52] Cité par A. Ollivier, Les
Templiers , p. 120.
    [53] Dans de nombreuses Chansons de Geste, écrites aux XII e et XIII e  siècles, on nous
présente souvent des Sarrasins jurer par Mahomet, Apollon et Tervagant, et se
livrant au culte des idoles. Il y a une méconnaissance évidente, en Europe
occidentale, de la religion musulmane, et les fameux Sarrasins regroupent tout
ce qui n’est pas chrétien, aussi bien la religion romaine que la religion
druidique, et également les survivances populaires de ces religions dans les
campagnes. De la même façon, dans les Chansons de Geste, les Sarrasins sont
parfois des sorciers, ou même des diables.
    [54] Voir Probst-Biraben et Maitrot de la Motte-Capron, Les idoles des chevaliers du Temple , dans Mercure
de France , 1939, vol. 294, pp. 569-590.
    [55] Salomon Remach. « La Tête magique des Templiers
», Revue de l’histoire des Religions , Paris, 1911.
n° 63, pp. 25-39. Reinach se livre à une passionnante enquête sur les
origines mythologiques de cette fameuse Tête.
    [56] Norman Cohn, Démonolâtrie et
sorcellerie au Moyen Âge , p. 117.
    [57] J. Loth , Les Mabinogion ,
nouvelle édition, Paris, Les Presses d’Aujourd’hui, 1979, p. 203. Voir
J. Markale, Le Graal , Paris, Retz, 1982,
p. 54.
    [58] J. Loth , Les Mabinogion ,
pp. 39-41. Voir J. Markale, L’Épopée celtique en
Bretagne , Paris, Payot, 3 e  éd., 1984, pp. 43-52.
    [59] Du même auteur, L’Épopée celtique
d’Irlande , Paris, Payot, 1978, pp. 112-113.
    [60] Revue celtique , VIII,
pp. 48 et suivantes.
    [61] Ogam , XVIII, p. 352.
    [62] Textes politiques ,
pp. 78-79.
    [63] Ainsi une tradition
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