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Gisors et l'énigme des Templiers

Gisors et l'énigme des Templiers

Titel: Gisors et l'énigme des Templiers
Autoren: Jean Markale
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Templiers ,
Paris, Le Seuil, 1958.
    R. Pernoud, Les Templiers ,
Paris, P.U.F., 1974.
    G. de Sède, Les Templiers sont parmi
nous , Paris, Julliard, 1962.
    J. Tourniac, De la chevalerie au secret
du Temple , Paris, le Prisme, 1975.

ILLUSTRATIONS

     
    La tour octogonale du château de Gisors,
    qui abrita le Prieuré de Sion, après 1188.

 
    Église Saint-Gervais et Saint-Protais à Gisors.

 
    Les Templiers au combat,
    (fresque murale du XII e  siècle)

 
    Le plus célèbre sceau des Templiers.

 
    Manuscrit du XIV e  siècle.

 
    La commanderie des Templiers de Paris.
    (Bibliothèque nationale).

 
    Le Temple au début du XIV e  siècle.

 
    Jacques de Molay, Maître du Temple.

 
    Guillaume de Nogaret
    (Bibliothèque nationale)

 
    Église des Chevaliers du Temple à Londres.
    La nef, ronde, fut consacrée en 1185
    par le patriarche de Jérusalem.

 
    Pierre tombale d’un Templier
    en l’église des Chevaliers du Temple à Londres.

 
    Le pape Clément V.
    (Bibliothèque nationale)

 
    Le supplice des Templiers
    (manuscrit du XIV e  siècle).
    ----
    [1] Le pagus (pays), est un
territoire gallo-romain correspondant à l’aire d’occupation d ’un peuple
gaulois d’avant la conquête.
    [2] Au XIII e  siècle, sur
les douze Pairs de France, six sont des ecclésiastiques : l’archevêque de
Reims, les évêques de Beauvais, Noyon, Laon, Châlons et Langres. Cela montre la
permanence d’un état de fait remontant à l’époque carolingienne, à savoir la
prédominance des hauts dignitaires gallo-francs du nord de Paris sur les autres
évêques du royaume. Ce sont les évêques qui ont écarté la dynastie
mérovingienne au profit des Carolingiens. C’est sous l’impulsion de
l’archevêque de Reims que Hugues Capet sera acclamé à Senlis et couronné à
Noyon.
    [3] Nodier et Taylor, Voyages
pittoresques et romantiques dans l’ancienne France : Normandie ,
1820, 1825 et 1878.
    [4] J’ai longuement analyse la part jouée par Aliénor
dans les rapports entre Capétiens et Plantagenêts, ainsi que son attitude
ambiguë avant son étrange « divorce », dans mon ouvrage Aliénor d’Aquitaine , Paris, Payot, 4 e  éd.,
1983.
    [5] D’après un manuscrit de 1375 conservé aux Archives
Nationales (JJ. 106 folio 406), cité par J.-L. Chaumeil, Le
Trésor du Triangle d’Or , Paris, A. Lefeuvre, 1979. J’émets les plus
grandes réserves quant aux interprétations données dans cet ouvrage, et en
aucun cas, je ne puis les partager.
    [6] J’ai exposé les arguments en faveur de cette thèse
dans mon ouvrage Anne de Bretagne , Paris, Hachette,
1980.
    [7] Voir, dans la même collection, J. Markale, Montségur et l’énigme cathare , 1986.
    [8] Ce document aurait été communiqué à Gérard de Sède
par le bibliothécaire du Vatican, sur la demande de l’ambassadeur de France et
de l’attaché culturel à Rome. G. de Sède en donne une reproduction
photographique. Mais il est bien difficile de se prononcer sur la valeur du
document et surtout sur son authenticité.
    [9] Julliard, Paris, 1962. Depuis cette date, l’ouvrage a
constamment été réédité.
    [10] Parlant des trois Templiers qui, pendant quelques
mois, par suite de l’accord entre Henry Plantagenêt et Louis VII, ont occupé
le château de Gisors, l’historien Alain Demurger ajoute : « La durée
de leur séjour est inversement proportionnelle aux tonnes de sottises écrites
ou racontées, par médias interposés, là-dessus » (A. Demurger, Vie et mort de l’Ordre du Temple , Paris, Le Seuil, 1985,
p. 195). Ce jugement sévère vise d’ailleurs beaucoup plus ce qui a suivi
la publication du livre de Gérard de Sède que le livre lui-même. Je
m’abstiendrai de tout commentaire à ce sujet, me contentant de verser l’ouvrage
au « dossier » de l’affaire de Gisors.
    [11] « Ce que j'ai dit à Gérard de Sède et aux
autres, ce n’est pas la vérité. Les fouilles que j’ai entreprises n'ont mené
nulle part... Les coffres, je les ai inventés. » Ce sont les paroles de
Lhomoy rapportées par Robert Charroux au cours d ’un entretien avec Jean-Luc
Chaumeil. en 1974 (J.-L. Chaumeil, Du premier au dernier
Templier , Paris. Henry Veyrier, 1985, p. 235) On remarquera que
c’est un témoignage de seconde main.
    [12] Le Charivari , n° 18,
consacré au Prieuré de Sion, contenant certains documents dits secrets et de
nombreux commentaires. Sur certains de ces documents, on peut lire, l’ouvrage
de
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