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Sang Royal

Sang Royal

Titel: Sang Royal
Autoren: Christopher John Sansom
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Mme Ann Los, qui m’a fait part de ses connaissances sur le château de Leconfield. Andrew Belshaw m’a aimablement trouvé le Yorkshire Dictionary (Smith Setde, 2002), lequel s’est avéré très utile pour les questions de dialecte. Merci aussi à Jeanette Howlett, qui m’a fait visiter le Sussex Working Horse Trust où j’ai beaucoup appris sur le type de chevaux qui ont fait traverser l’Angleterre au convoi royal ; au Dr Jeremy Bending, qui m’a conseillé à propos du cancer de Wrenne, ainsi qu’à Mike Holmes, qui a corrigé mes idées incroyablement erronées sur les conditions et les aléas de la traversée en mer. Inutile de préciser que je suis entièrement responsable des erreurs commises dans l’interprétation de la mine de renseignements dont j’ai été le bénéficiaire.
    Je remercie, à nouveau, Roz Brody, Jan King, Mike Holmes et William Shaw, qui ont relu le manuscrit du roman, et Antony Topping, mon infatigable agent pour son aide, ses remarques, et le choix du titre. Une fois de plus, merci à Maria Rejt ma conseillère littéraire, et à Man Roberts pour la relecture du manuscrit. Et à Frankie Lawrence pour la gigantesque entreprise de frappe.

BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE
    Sur la conjuration de 1541, je n’ai pas trouvé d’étude plus récente que l’article rédigé par Geoffrey Dickens en 1938. (A.G. Dickens, « Sédition and Conspiracy in Yorkshire » ( Yorkshire Archaeological Journal, vol. XXXIV, 1938-1939). Le livre de Michael K. Jones, cité plus haut, est un ouvrage fascinant et troublant sur l’affaire Blaybourne. Pour la vie de Catherine Howard, l’essai de Lacey Baldwin Smith, A Tudor Tragedy (Alden Press, 1961), reste le travail le plus complet, tandis que celui de David Starkey, Six Wives : The Queens of Henry VIII (Vintage, 2004) présente un point de vue moderne intéressant.
    L’article de R.W. Hoyle et J.B. Ramsdale, « The Royal Progress of 1541, the North of England, and Anglo-Scottish Relations, 1534-1542 », paru dans Northern History, XLI : 2 (septembre 2004), s’est avéré utile pour l’aspect politique de l’expédition, bien qu’il sous-estime beaucoup trop à mon avis le rôle joué par la conspiration dans la décision de l’organiser. Pour les détails de la vie à la cour des Tudors durant ce voyage, j’ai utilisé The Royal Palaces of Tudor England, de Simon Thurley (Yale University Press, 1993) ainsi que The Tudor Court, de David Loades (Barnes & Noble, 1987). Thomas Cranmer : A Life, de Dairmaid McCulloch (Yale University Press, 1996), m’a aidé à prendre la mesure de cet homme extrêmement complexe. En ce qui concerne la conjuration et le voyage royal, les rapports des ambassadeurs qui figurent dans Letters and Papers, Foreign and Domestic, of the Reign of Henry VII, vol. XVI, fournissent des éléments à la fois fascinants et frustrants à cause de leur caractère succinct. The Pilgrimage of Grace and the Politics of the 1530’s, de R. W. Hoyle (OUP, 2001), et The Pilgrimage of Grace, de Geoffrey Moorcock (Weidenfeld & Nicholson, 2002), ont été deux ouvrages fort utiles. Moorcock relate la légende de la Taupe.
    Tudor York, de D. M. Palliser (OUP, 2002), m’a apporté une mine de renseignements sur la ville. L’ouvrage très bien illustré de Christopher Wilson et de Janet Burton, St Mary’s Abbey (Yorkshire Muséum, 1988), m’a beaucoup aidé pour la disposition et l’architecture monastique de l’enceinte de l’abbaye Sainte-Marie. Le séjour éventuel au Manoir du roi de Henri VIII est encore aujourd’hui objet de débats à York. Je crois, personnellement, qu’il y résida, cela semblant tout naturel du point de vue logistique. L’hypothèse que les centaines d’ouvriers, dont la présence est attestée durant le voyage, construisaient à échelle réduite des tentes et des pavillons semblables à ceux du camp du Drap d’or est entièrement mienne, mais elle s’accorde avec les maigres indications figurant dans Letters and Papers. En outre, vu qu’on avait moins de deux mois pour se rendre sur place et tout préparer, on ne disposait guère d’assez de temps pour construire quelque chose de plus robuste.
    Le chant entonné pour accueillir le roi à York au chapitre 16 ne se trouve dans aucun livre traitant de la musique sous le règne des Tudors, car je l’ai inventé. J’espère, malgré tout, qu’il a l’air authentique.
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