L'Impératrice indomptée

Mais la Première Guerre mondiale, dont il fut à l’origine, l’empêcha de profiter pleinement de l’Achilleion.
    Le palais fut transformé en hôpital en 1915 par les troupes françaises et serbes. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il servit aussi d’hôpital puis d’état-major aux occupants italiens et allemands. Ensuite, il abrita des collèges et jardins d’enfants... En 1962, le gouvernement grec décida de le louer pour une période de vingt ans au baron de Richthofen qui en fit un casino. Ce dernier eut à coeur de récupérer bon nombre d’objets ayant fait partie de l’histoire de l’Achilleion et essaya de lui redonner son aspect original.

BIBLIOGRAPHIE
    Biographies
    A VRIL (Nicole), L’Impératrice , Grasset, 1993.
    C ÉSAR (Egon, Comte Corti), Élisabeth d’Autriche , Payot, 1987. Première édition française en 1936.
    C HRISTOMANOS (Constantin), Élisabeth de Bavière, impératrice d’Autriche , Mercure de France, 1986. Première édition, 1905.
    C LÉMENT (Catherine), Sissi, l’impératrice anarchiste , Gallimard Histoire, 1992.
    D ES C ARS (Jean), Élisabeth d’Autriche ou la fatalité , Perrin, 1983.
    H AMANN (Brigitte), Élisabeth d’Autriche , Fayard, 1985. Traduit de l’allemand par Jean-Baptiste Grasset, avec la collabor A tion de Bernard Marion.
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    V OGEL (Juliane), Élisabeth von Österreich, Momente aus dem Leben einer Kunstfigur , Vienne, 1992.

    Albums
    D ES C ARS (Jean), Sur les pas de Sissi , Perrin, 1989.
    H AMANN (Brigitte), Élisabeth, Bilder einer Kaiserin , Éd. Amalthea, 1986.

    Ouvrages historiques
    B ÉHAR (Pierre), L’Autriche-Hongrie, idée d’avenir , Éd. Desjonquières, 1991.
    B ÉRANGER (Jean), Histoire de l’empire des Habsbourg 1273-1918 , Fayard, 1990.
    B LED (Jean-Paul), François-Joseph , Fayard, 1987.
    C OMBESCOT (Pierre), Louis II de Bavière , Jean-Claude Lattès, 1987.
    F AYE (Jacques DE LA ), Élisabeth de Bavière , Émile Paul, 1913.
    Sous la direction de H ANAK (Peter), Mille ans d’histoire hongroise , Éd. Corvina, Budapest, 1986.
    L UDWIG (Emil), Bismarck , Payot, 1984.
    M AGRIS (Claudio), Danube , Gallimard, 1988.
    M AGRIS (Claudio), Sous le Mythe et l’Empire , L’Arpenteur-Gallimard, 1991.
    M IQUEL (Pierre), Le Second Empire , Plon, 1992.
    M ORAND (Paul), La Dame blanche des Habsbourg , Robert Laffont, 1963.
    Po LLACK (Michael), Vienne 1900 , Gallimard-Julliard – Coll. Archives, 1984.

    Sites Internet
    www.territet.ch/histoire/sissi.html : site helvétique narrant la vie de Sissi avec des repères chronologiques.
    www.sisi-net.de : site avec forum dédié à la mémoire de Sissi.
    www.dialogus2.org/sissi.html : intéressant site sur des thématiques variées concernant toute la vie de Sissi sous forme de lettres.
    www.château-de-sassetot.com : site sur le château de Sassetot à Fécamp où séjourna l’impératrice en 1875, désormais devenu un hôtel de luxe où le souvenir de Sissi est chéri.
    http://druine-free.fr/corfou/achipalais : site français sur Sissi à Corfou et son palais de l’Achilleion.
    www.madeira-club.de/sisi/ : bref site sur les séjours de Sissi à Madère.
    www.bahnhof-possenhofen.de/html/sisi-museum.html :site du musée Sissi à Possenhofen. Le château ne se visite pas, mais le parc et ce musée sont ouverts au public. Ce site vous donne tous les renseignements pratiques pour se rendre dans le paradis de l’enfance de Sissi.
    www.wien.info : site Internet sur les musées et les châteaux impériaux à visiter à Vienne avec tarifs et horaires des visites. (Aller à accueil > Visite de la capitale > La Vienne impériale).
    www.hofburg-wien.at : site en allemand, anglais ou italien sur le palais impérial.
    www.kaiservilla.com : site en anglais sur le palais impérial.
    www.schoenbrunn.at/de/publicdir/ : site Internet en anglais, allemand, italien sur le château de Schönbrunn, résidence impériale d’été.

REMERCIEMENTS
    À Munich, je remercie Jean-Loup Debionne, Peter Zöls, Hans Huslati, Norbert Loh, Christiane Gobert, Rita Tugend, Norbert Schneider et Matthias Hubber.
    À Vienne, j’exprime ma reconnaissance à Christine Götz, Michael Peters, Beate Bührer, Monika Massur et Matthias Haas.
    Je remercie Sylvie Boizet pour la frappe de ce manuscrit, Anne Davis pour ses conseils précieux et enfin Charles Dupêchez pour sa confiance.