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Histoire De France 1715-1723 Volume 17

Histoire De France 1715-1723 Volume 17

Titel: Histoire De France 1715-1723 Volume 17
Autoren: Jules Michelet
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281
Héroïsme de Roze, des échevins de Marseille, de Belzunce 286
Le règne des forçats 289
L'anéantissement de Toulon 294
La furie de vivre 294
Trois générations de malheurs avaient abouti à la peste 295
Elle marche vers la Loire.—Déserts.—Pays abandonnés 296
    CHAPITRE XVIII
Le Visa , 1721 297
Triumvirat de Pâris Duverney, Crozat et Samuel Bernard 298
M. le Duc humilie le Régent et jette à la justice un de ses compagnons d'agiotage 298
Un million de familles apportent leurs papiers au Visa 301
Partialité du Visa, qui respecte les vols des seigneurs 302
Désespoir et galanterie, fêtes, bals 304
Le dernier portrait du Régent et ses derniers scandales 305
    CHAPITRE XIX
Manon Lescaut. — Mort de Watteau . 1721 308
L'amour au XVIII e siècle 309
Manon est-elle une confession de Prévost?—Elle est de la Régence, non du temps de Fleury 311
Noblesse et mélancolie.—Mort de Watteau 317
    CHAPITRE XX
Rome et les sacriléges. — Mariages espagnols . 1721 321
Le marchandage du chapeau de Dubois 322
Sacriléges et malpropretés à Rome, en France, en Angleterre, en Espagne 324
Les quatre péchés de Madrid.—Révélation d'Alberoni 328
Honteux traité de la Farnèse et de Dubois. 330
    CHAPITRE XXI
Louis XV. — Les Méchants. — Cartouche . 1721 333
Nature ingrate du jeune Roi, son éducation 334
Les Méchants.—Le petit duc de Richelieu favori, à treize ans, de la duchesse de Bourgogne (1709) 336
Maladie du jeune Roi.—Son indifférence à l'amour du peuple 339
Mœurs violentes.—Voleurs.—Cartouche 340
Jeux cruels.—Férocité de M. le Duc et de Charolais 342
    CHAPITRE XXII
Dubois abandonne toute réforme. — Approche de la majorité . 1722 345
Lâcheté de Dubois, qui laisse brûler les papiers du Système et du Visa, effacer la trace des vols.—Il connive à la grandeur effrontée de M. le Duc, compose avec le Clergé, la Noblesse, la Maltôte 346
Sa lutte avec Villeroi et Fleury pour la première communion du Roi 349
Le petit Roi tue sa biche blanche 350
Le Régent veut en vain ajourner la majorité 351
    CHAPITRE XXIII
Le Roi ramené à Versailles. — Enlèvement de Villeroi . 1722 353
Aspect du vieux Versailles.—Le Régent s'y établit avec le petit Roi et veut le gagner 355
L'Infante à Versailles 356
Les jeunes Villeroi essayent de s'emparer du Roi en le corrompant 357
Ils sont surpris, chassés, 2 août 359
Villeroi rompt avec Dubois, est enlevé, 12 août 361
Fuite calculée et retour de Fleury 362
    CHAPITRE XXIV
Fin de Dubois et du Régent . 1722-1723 363
Bassesse et faiblesse du gouvernement.—Terreur du règne imminent de M. le Duc 364
L'Angleterre consolide Dubois en obtenant qu'il soit premier ministre, avec tous les pouvoirs de Richelieu et Mazarin 366
Dubois perd l'espoir d'influer en Espagne par la fille du Régent 367
Cruauté de la Farnèse pour la jeune Française 368
Dubois, faible et isolé, forcé de sacrifier ses agents les plus sûrs à M. le Duc 370
Son désespoir et sa mort, 10 août 1723 375
Le Régent sans ressources.—Sa mort, 2 décembre 378
    CHAPITRE XXV
Montesquieu. — Lettres persanes. 1721.— Voltaire, Henriade . 1723 382
Barbarie religieuse de l'Europe, auto-da-fé d'Espagne, massacre de Thorn, etc. 384
Humanisation de la France par la ruine du dogme inhumain 385
Le cœur tendre et doux de Voltaire.—Son faible poème, alors très-hardi 386
Douceur et humanité de Montesquieu.—D'autant plus terrible au passé 387
Il part de l'écart absolu, ne compose pas, comme l'abbé de Saint-Pierre, avec le vieux monde 389
Solitaire en pleine foule, émancipé par les sciences, les législations comparées, la lecture des voyages 390
Hauteur de son point de vue 394
Légèreté et désordre apparents de son livre, très-profondément calculé 395
Sa prédiction de la mort prochaine du catholicisme 396
    Paris.— Imprimerie Moderne (Barthier, d r ), rue J.-J.-Rousseau, 61.
    Note 1: Noailles a été trop maltraité par Saint-Simon. Ses idées étaient praticables. L'expulsion des Jésuites, le lendemain de la mort de Louis XIV, eût été populaire, facile (autant qu'elle l'avait été en Sicile au duc de Savoie). Elle eût terrifié le parti jésuite, le duc du Maine. Le rappel des protestants eût été plus difficile, parce qu'ils avaient contre eux, non-seulement les Jésuites, mais les jansénistes, le cardinal de Noailles ( ms. Buvat , janvier 1716). Néanmoins, dans l'extrême détresse où on était, lorsque 1,500 personnes mouraient de faim dans une seule
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