Dernières Révélations sur les Templiers

préparées de longue date. Et les biem pré-2m
    Les trésors du Tmple
    cieux y étaient peut@tre maintenus en permanenoe, U resterait donc des * trésors " templiers ?
    Très certainement. Toutefois, les chercheurs de trésors feraient bien de réfléchir à certains aspects de la question.
    Dans les commanderies qui furent, selon l'ordonnanoe pontificale, dévolues aux Hospitaliers, ¸ serait étonnant que des fou¸les très poussées n'aient pas été opérées; ce qui laisse peu de chances aux chercheurs actuels.
    Enfm, parmi les Templiers échappés à Philippe le Bel, certains sont peut-
    être revenus chercher, là o˘ ils connaissaient les caches, les trésors dissimulés.
    Et le secret des caches importantes a peut@tre aussi été transmis. je tiens que c'est là le secret des graffiti de Chinon.
    On connaît l'histoire de ces graffiti qui furent analysés de façon fort pertinente par Paul Le Cour (revue Atlantis).
    Au moment de la constitution des commissions d'enquête pontificales, le pape s'était réservé le cas des grands dignitaires retenus prisonniers.
    Résidant à cette époque à Poitiers o˘ ¸ était en déplacement, il demanda que ces grands dignitaires soient amenés en sa présence pour interrogatoire personnel.
    Roi ni inquisiteurs ne pouvaient valablement s'opposer à cette requête. U
    fut donc constitué un convoi de prisonniers qui, de Paris, se mit en route vers Poitiers, mais, quand le convoi fut rendu près de Tours, on prit prétexte de l'on ne sait trop quelle maladie des prisonniers pour interrompre le voyage
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    Les mystères temple
    et on les enferma dans le ch‚teau de Chinon qui était directement sous l'autorité royale et faisait partie de son domaine.
    Les prisonniers restèrent là quelque temps. Ils ne parvinrent jamais en présence du pape et furent ramenés à Paris.
    Mais, durant le temps o˘ ils se trouvèrent à Chinon, ces prisonniers gravèrent dans les pierres de la salle o˘ ils se trouvaient enfermés des dessins d'une particulière qualité.
    Tous les dessins sont symboliques et la plupart sont même de nature initiatique -. coeurs flamboyants, croix, triple enceinte, marelle, escarboucles.
    C'est évidemment ce côté initiatique qui a frappé Paul Le Cour. Il en a tiré la conclusion, fort juste, que les gens qui furent enfermés là étaient des im'tiés; oe qui est probable quoiqu'il soit possible de connaître les signes symboliques sans être pour autant un initié.
    Mais il est certain que ces gens connaissaient la symbolique traditionnelle. Et l'on se demande quel besoin les a poussés à graver ces symboles qui n'ont, en eux-mêmes, rien de secret. Ce qui est secret, c'est la manière de s'en servir.
    On pourrait admettre que ces gravures sont des fruits de l'oisiveté forcée, trompée en meublant une muraille de quelconques dessins.
    Mais ce ne sont pas des dessins quelconques. Et je crois quels correspondent à une intention utilitaire, une intention de transmission à
    des gens, du présent ou du fu=. Et non pas à n'@rte qui, mais à des Les trésors du Temple
    gens qui connaissent la signification de ces symboles.
    Seulement, s'ils en connaissent la signification, à quoi bon la leur transmettre? Ces dessins ne leur apprendraient rien. C'est parfaitement inutile, sauf..
    Sauf si ces symboles sont des rébus.
    E y a une façon " rébus" de lire les symboles. Ce fut même, et c'est encore, une façon constante de transn˘ssion de ce que l'on ne veut pas exposer clairement, mais seulement à l'usage de ceux qui sont entrames à
    cette lecture.
    Les graffiti de Chinon s'adressent à des gens qui non seulement connaissent ces symboles mais encore qui savent les lire. Et il est probable qu'¸ y avait une façon " templier " de les lire.
    Es s'adressent à des frères; et non point pour leur remémorer des symboles qu'ils connaissent, ni pour leur confier des vérités traditionnelles, qu'ils connaissent s'ils connaissent les symboles; mais pour leur transmettre, par le truchement de ces symboles, des choses quels doivent être seuls à comprendre.
    Et si ces choses sont secrètes, c'est qu'elles sont matérielles, cachées matériellement.
    Prenons un exemple - qui n'a et ne peut avoir valeur que d'exemple Supposez qu'un dignitaire ait gravé un coeur surmonté d'une croix. C'est un symbole. Un symbole chrétien, entre autres; pas d'ailleurs spécifiquement chrétien, mais connu; que l'on rencontre un peu partout dans les édifices religieux.