Dernières Révélations sur les Templiers

raisonner, faculté an˘nale, mais de lire directement dans la nature même des choses.
    On comprendrait alors le soin pris à dérober à la vue l'objet capable d'une telle action afm d'éviter que quelque apprenti sorcier ne l'utilis‚t pour le mal. Antée et le Dragon défendent les Ponunes d'Or; Isis dissimule I'OE‹ d'Horus; le père de Médée garde en son Caucase, o˘ fut enchaîné
    Prométhée, la Toison d'Or; Moîse met le Grand Tabou sur lArche que gardent les lévites, et qu'enterre Salomon...
    Mais, actuellement, les atomistes n'essaient-ils point, un peu tard, de retenir en leurs mains ces formules dont périra, peut-être l'humanité.
    Encore n'y a-t-il là que des " approches " de la connaissance.
    quand, au xir siècle, reparaît, dans sa mouture chrétienne, la légende du Graal, la grande affaire de la chevalerie à son plus haut idéal, c'est la quête de cet objet dont la seule contemplation apporte à l'homme qui en est digne toute nourriture, tant terrestre que céleste.
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    Les mystères temple
    La quête et, aussi, la garde.
    La légende conte que Pérille3 prince asiatique qui possédait le Graal, vint s'établir en Gaule, y fit b‚tir un magnifique temple sur le modèle du Temple de Salomon et y déposa le Vase sacré.
    Une milice guerrière fut instituée pour la garde, la défense et l'honneur du Graal. Elle était chargée d'en écarter tous ceux qui étaient indignes de l'approcher.
    Les membres de cette Milice se nommaient : Templistes.
    Le Templiste qui appartenait à cette chevalerie idéale ne devait répondre à
    aucune question qui lui était posée sur sa condition ni sur l'office qu'il remplissait dans la Milice. Il devait, également., refuser son assistance à quiconque lui avait posé cette question et, si loin qu'il se trouv‚t alors du Temple, il devait immédiatement se mettre en route pour le rejoindre.
    Le chef de cette Milice avait nom : le roi du Graal.
    Par suite de l'indignité des pays d'Occident, Perceval (en français actuel: vallée claire), Perceval, qui était parvenu à la royauté du Graal, transporta, à la tête des chevaliers templistes, le vase miraculeux dans les contrées de l'ORrENT.
    L'Orient, pour nous, oe sont les contrées de l'Est, les pays, plus ou moins lointains, du soleil levant; mais, aux temps moyen‚geux, c'était encore bien autre chose : c'était la beauté d'un objet, comme on dit encore l'orient d'une perle. C'était aussi le lieu
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    La gaste forêt
    sacré, le lieu d'o˘ venait la lumière; dans l'église, C'était le sanctuaire. La tradition médiévale nomme parfois le Christ : <, Orient ".
    C'est, parfois encore, l'aurore dans son sens d' " éveil " et c'est aussi la désignation de l'illumination.
    Actuellement encore, dans les loges maçonniques, la place du Vénérable se situe à l' " orient )@ en tant que détenteur de la doctrine traditionnelle.
    Dans les cayennes compagnomques, c'est la place du Magister.
    Donc, Perceval transporta le Graal à L'ORIENT. Mais toute place o˘ se trouve le Graal devient L'ORIENT.
    ... Une triple enceinte de possessions templières enserre la Forêt d'Orient. Et dans tout le pays entre Seine et Aube, les Templiers ont l'absolu monopole de "gruerie ", c'est-à-dire de garde et d'exploitation des bois...
    L'ORIENT ne serait-il autre que la Forêt d'ORIENT ?
    Nous voici revenus sur les lieux de naissance.
    Le 13 novembre 1307, quand fut exécuté -l'ordre d'arrestation des Templiers, le prévôt de Troyes, Jean de ViUarcel, ne prit pas avec lui moins de quarante hommes d'armes pour investir la conunanderie de Payns.
    O˘ il ne trouva que quelques frères, dont le receveur des impôts du roi en Champagne, Raoul de Gizy, sergent et précepteur de Payns et Troyes.
    Cette comrnanderie, très modestement fortifiée, lui avait-eue été signalée comme particulièrement importante ?
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    Les Mstères templiers
    .U ne semble pas que le prévôt de Troyes ait trouvé plus en cette commanderie que ses confrères en d'autres lieux.
    Le trésor n'était pas là. Mais il est possible q¸'il y soit passé et qu'un souvenir en f˚t resté.
    Passé poux gagner l'Orient, par exemple...
    Il faut avoir, en avion, survolé cette forêt, quand l'altitude efface à la vue le tracé des laisses r@gnes actuelles, pour se rendre compte quel ine@cable buisson devait être autrefois oe massif forestier.
    E faut s'être penché sur les cartes forestières pour constater -
    abstraction faite des laisses actuelles à