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Vie et Paroles du Maître Philippe

Vie et Paroles du Maître Philippe

Titel: Vie et Paroles du Maître Philippe
Autoren: Alfred Haehl
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faut que cela se fasse
(27-4-1898). Il a une maison et m’a donné la garde des sentiers qui y
conduisent.
    A chaque entrée il y a un gardien qui ne laisse pas passer le
premier venu.
    Cet Ami qui ne me quitte jamais ne veut pas que l’on
m’insulte ; si quelqu’un m’insulte, il ne pardonne pas. Moi, je pardonne,
et il y a des personnes à qui j’ai pardonné qui sont passées de l’autre côté
sans être pardonnées de mon Ami. Notre-Seigneur Jésus-Christ a dit : « Si
vous insultez celui qui est avec moi, vous n’aurez point le pardon ».
(10-11-1896)
     
    Celui qui dit du mal de moi sans me connaître sera puni, celui
qui en dit en me connaissant offense Celui qui est souvent avec moi. Car que
diriez-vous d’une personne qui ferait bon semblant à une autre et qui donnerait
un coup de pied au chien de cette personne ; Que penserait le maître de ce
chien ; (21-1-1895)
     
    Je ne peux pardonner à ceux qui me font des sottises. Ceux qui
ont offensé Jésus-Christ ne peuvent être pardonnés sans l’assentiment de
Dieu ; et moi je ne peux pardonner que si Jésus-Christ veut. (13-2-1897)
     
    Si j’intercède pour un homme et que mon intercession soit
écoutée, puis que la sœur de cet homme blasphème contre moi, alors je ne puis plus
rien pour cette famille.
     
    Ce que j’ai de plus que vous, c’est que je vous connais tous et
que vous ne me connaissez pas (15-7-l891). Je vous connais tous très bien et il
y a fort longtemps que je vous connais. Je sais ce que vous êtes et l’Ami qui
est là, l’Ami que vous ne voyez pas, vous protège. J’ai habité un autre pays
avec vous, pas sur la terre. Vous, je vous parle avec douceur ; il y en a
d’autres à qui j’ai parlé avec sévérité (3-7-1 896 ; 7-1-1903).
     
    Vous êtes tenus de faire ce que je vous dis parce que vos lèvres
disent : « J’ai confiance en vous » (17-5-1897).
     
    Vous êtes des francs-tireurs, et moi, je suis votre caporal.
    Personne, je vous assure, ne vous aime plus que moi.
     
    Cela ne me fait rien que vous m’en vouliez ; vous pouvez ne
pas m’aimer du tout, je vous aime pour deux. Ce que je vous demande seulement,
c’est d’aimer votre prochain autant que vous-mêmes. (10-6-1894)
     
    Si vous sentiez ce que je ressens, vous sentiriez que nous ne
sommes qu’un.
    J’ai pardonné pour vous de tout cœur, car si on vous a offensés,
on m’a offensé.
    Je ne cherche pas la dignité en vous, mais bien l’humilité. Vos
efforts sont les miens.
    L’effort que j’ai fait ne sera plus à faire pour vous.
     
    A propos d’articles de journaux. « C’est que j’ai demandé
pour moi tous les ennuis que je peux porter, pour que les autres en aient
moins ». (27-11-1904)
     
    Je suis venu comme le bon médecin, non pour guérir ceux qui ne
sont pas malades, mais bien pour ceux qui souffrent et pour aider ceux de bonne
volonté à faire non seulement tout ce qu’ils peuvent, mais plus qu’ils ne
peuvent. Ne faire que ce qu’on peut n’est pas suffisant. (27-12-1894)
     
    Lorsque vous trouverez le fardeau trop lourd, demandez à Dieu
d’alléger vos peines, ou pensez à moi et je vous promets que vous serez
soulagés si vous êtes animés de bonnes intentions, car sans cela je ne vous
entendrai pas non plus.
     
    Vous m’appartenez tous, et, ce qui peut vous paraître téméraire,
le temps aussi obéirait à ma volonté, et je vous atteste que celui qui aimera
son prochain comme lui-même sera toujours entendu et exaucé. (10-6-1894)
     
    Je suis fier de vous sauver.
    Un jour, alors qu’il y avait beaucoup de monde à la séance, M.
Philippe dit soudainement : « Ah ! cette canaille de P., ce voleur de
P., ce vaurien de P. » et toutes sortes d’horreurs de lui-même.
« Mais, monsieur Philippe, pourquoi dites-vous cela de vous-même ?
vous nous faites de la peine ; vous savez bien que nous vous aimons
beaucoup. - Il y a ici des personnes
qui ont prononcé ces paroles et je dis cela pour qu’elles soient
pardonnées ».
     
    Une fois, une seule fois dans ma vie, je suis resté dix jours
sans épreuves, j’ai eu dix jours de bonheur.
    Alors j’ai pleuré et j’ai prié parce que je me suis cru
abandonné de Dieu, et j’ai supplié pour avoir des épreuves.
     
    Je ne connais de ma famille que ceux qui observent ce que je
leur dis, ceux qui font des efforts pour aimer leur prochain.
    Vous serez unis à moi si vous vous aidez les uns les autres,
prévenant même les demandes de ceux qui
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