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L'Étreinte de Némésis

L'Étreinte de Némésis

Titel: L'Étreinte de Némésis
Autoren: Steven Saylor
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français, Baies. (N.d.T.)
    [11] L’une des sept collines historiques de Rome. (N.d.T.)
    [12] Ce que les Romains appelaient manteaux (lacerna ou
paenula) tenait plus de la cape ou de la pèlerine que du manteau stricto sensu. (N.d.T.)
    [13] Deux autres collines de Rome. (N.d.T.)
    [14] Littéralement, le « marché aux bœufs ». (N.d.T.)
    [15] À Rome, les bateaux étaient du genre féminin et
portaient des noms féminins. Les Furies étaient des esprits vengeurs attachés
notamment à châtier les parjures. (N.d.T.)
    [16] En latin, Avernus, ce qui signifie « sans
oiseaux », précisément à cause des émissions de gaz. (N.d. T.)
    [17] C’est avant tout le nom du dieu du Royaume des morts,
le Pluton romain, également connu sous le nom Dis ou Orcus. (N.d.T.)
    [18] Il en possédera trois dans cette baie. (N.d.T.)
    [19] Tiberius et Caius Gracchus, frères et tribuns
romains. Ils lancèrent notamment des réformes agraires et tentèrent d’atténuer
les inégalités à Rome. Tiberius fut tribun en 133 av. J.-C. et assassiné la
même année. Caius fut tribun en 124 et assassiné en 121. (N.d.T.)
    [20] La porte Colline était une des seize portes de Rome.
Elle se trouvait au nord de l’enceinte. C’est là que Sylla vainquit les forces
de Marius en 82 av. J.-C., ce qui lui permit de se rendre maître de l’Italie. (N.d.T.)
    [21] Vêtement typique des femmes romaines comme la toge
était celui des hommes. C’était une longue robe, à manches, tombant jusqu’aux
pieds. (N.d.T.)
    [22] Tribune de l’orateur, au Forum. Elle était ornée des
éperons de navire (rostra) pris sur l’ennemi à la victoire d’Antium (338
av. J.-C.). (N.d.T.)
    [23] Voir le discours de Cicéron Pour S. Roscius d’Améria
(80 av. J.-C.). (N.d.T.)
    [24] Voir Steven Saylor, Du sang sur Rome, 10/18, n° 2996.
    [25] Cicéron, né en 106 av. J.-C., avait vingt-six ans. (N.d.T.))
    [26] Le 5 septembre. (N.d.T.)
    [27] Les premiers jeux de gladiateurs (à partir de 264 av.
J.-C. à Rome) auraient été organisés dans le cadre de funérailles publiques. Il
s’agissait d’honorer et d’amadouer les mânes des défunts. Ensuite, ils
devinrent de pures distractions. (N.d.T.)
    [28] 13 septembre. (N.d.T.)
    [29] En Propontide, sur la mer de Marmara ; aujourd’hui en
Anatolie, Turquie. (N.d.T.)
    [30] Peu après dix-sept heures de notre comput moderne, en
cette période de l’année. La douzième heure du jour tombe précisément à
dix-sept heures au moment des équinoxes : à quinze heures quarante-deux au
solstice d’hiver et à dix-huit heures dix-sept au solstice d’été. Voir note 1. (N.d.T.)
    [31] Le terme mânes, bien que toujours pluriel et
désignant à l’origine les morts divins, puis les morts d’une famille (di mânes
devenant équivalent de di parentes), finit par être employé pour désigner un
seul esprit d’une certaine manière ; on s’adressait à l’esprit divin, ou aux
esprits divins, d’un individu. (N.d.T.)
    [32] Plante connue pour avoir été utilisée médicinalement
par les Grecs. On ne sait pas exactement quelle était cette plante, peut-être
de la famille des lasers, espèce d’ombellifères d’Europe dont les racines ont
des vertus diurétiques et toniques. On donne aujourd’hui ce nom silphium (ou
silphion) à une plante décorative provenant d’Amérique du Nord qui n’est
naturellement pas l’herbe évoquée par Dionysius. (N.d.T.)
    [33] Grand manteau que les Grecs portaient à la guerre ou
en voyage (à ne pas confondre avec la chlanide, manteau d’été), en forme de
cape et agrafé sur l’épaule. (N.d.T.)
    [34] Environ quinze mètres. (N.d.T.)
    [35] Personnage souvent représenté sous la forme d’un
gnome masqué, parfois ceint d’une couronne de plumes et portant une crinière de
lion. On disait que cet étrange dieu de la Famille était lié aux arts
domestiques comme la danse et la musique, et protecteur des femmes enceintes. (N.d.T.)
    [36] Démons féminins, représentés comme des oiseaux à tête
de femme. (N.d.T.)
    [37] Le poète Virgile notamment, dans l’Enéide, situe l’entrée des Enfers, de l’Hadès, près du lac Averne. (N.d.T.)
    [38] Virgile, dans le livre VI de l’Enéide, raconte la
légende du temple d’or de Dédale à Cumes. (N.d.T.)
    [39] Aujourd’hui, à Cumes, l’un des sites les plus réputés
est précisément l’antre de la Sibylle. Il s’agit d’une petite pièce comportant
trois niches, au bout d’un long couloir creusé dans le tuf.
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