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L'énigme des vampires

L'énigme des vampires

Titel: L'énigme des vampires
Autoren: Jean Markale
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paraît, la
plupart du temps, parfaitement authentique.
    [82] Les Métamorphoses, ou l’Âne d’or ,
trad. Pierre Grimal, Paris, Gallimard, 1958.
    [83] Manuscrit F. 24.400 de la B. N. Extrait traduit et présenté
par Anne Labia dans le recueil Scènes du Graal ,
Paris, Stock, 1987, pp. 152-172.
    [84] En réalité, la suite nous montre que c’est le chevalier Palomède qui
parvient à tuer le monstre.
    [85] Dans son beau film Excalibur , John
Boorman a délibérément fusionné les personnages de Viviane et de Morgane, ce
qui brouille encore plus les cartes. Viviane et Morgane sont deux aspects
contradictoires d’une même entité divine. Mais, dans le film, ce sont les
caractéristiques de Morgane qui dominent.
    [86] Lancelot en prose , trad. par
A. Micha, Paris, 10/18,1984, t. II, p. 230.
    [87] Il y a également un élément vampirique dans la légende armoricaine
bien connue de la ville d’Is. La princesse Dahud, dont le nom signifie
« bonne sorcière », est la maîtresse absolue d’une cité construite en
contrebas de la mer, donc dans une sorte d’autre dimension. Cette Dahud est
fille du roi Gradlon et d’une fée (voir J. Markale, « la Saga de
Gradlon le Grand », dans la Tradition celtique en Bretagne armoricaine ,
pp. 60-108), et elle a donc une « double » nature. Mais le
comportement qu’on lui prête, dans la ville d’Is, ressemble quelque peu à celui
de Turandot : elle fait tuer, au matin, les amants avec qui elle a passé
la nuit. En somme, elle se nourrit de l’énergie des hommes qu’elle sacrifie, ne
pouvant survivre dans son existence ambiguë qu’à cette condition formelle. De
toute façon, après la submersion de la ville d’Is, la princesse Dahud ne meurt
pas, puisqu’elle continue à errer entre deux eaux. C’est donc une non-morte , comme tout bon vampire qui se respecte.
    [88] J. Markale, l’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 190-191.
    [89] J. Loth, les Mabinogion , pp. 99-145.
    [90] J. Markale, la Tradition celtique en
Bretagne armoricaine , pp. 148-168.
    [91] Roland Villeneuve et Jean-Louis Degaudenzi, le
Musée des Vampires , Paris, Henri Veyrier, 1976, pp. 309-310.
    [92] Rudolf Steiner, le Sens de la Vie ,
Paris, Triades, 1977, pp. 17-56.
    [93] J. Markale, l’Époque celtique d’Irlande ,
pp. 106-108.
    [94] Lévitique , XVII, 10-14, dans la
traduction de la Bible de Jérusalem. Voici les mêmes passages dans la
traduction Chouraqui : « L’homme, l’homme de la maison d’Israël, et
le métèque résidant au milieu d’eux, qui mange de tout sang, je donne mes faces
contre l’être mangeur de sang. Je le tranche du sein de son peuple. Oui, l’être
de la chair est dans le sang… Tout être, parmi vous, ne mange pas de sang, et
le métèque résidant en votre sein ne mange pas de sang. » Quand on tue un
animal, donc on « répand son sang et le couvre de poussière. Oui, l’être
de toute chair, son sang est dans son être ».
    [95] James Frazer, le Rameau d’Or , trad.
Henri Peyre, Paris, Laffont, 1981, tome 1, pp. 622-624.
    [96] Le Rameau d’Or , pp. 626-627.
    [97] Armanda Guiducci, « la Profondeur du Sang », dans la revue Sorcières , n° 9, p. 12.
    [98] Claire Boniface, texte publié dans Sorcières ,
n° 9, p. 311.
    [99] R. Steiner, le Sens de la Vie ,
pp. 54-55.
    [100] J’ai moi-même largement contribué à ces commentaires, notamment dans l’Épopée celtique d’Irlande , à propos de l’archétype
irlandais de la légende, et dans la Femme celte ,
pour une étude plus détaillée de la « femme-soleil ». Je suis revenu
abondamment sur le sujet dans l’Amour courtois, ou le
couple infernal , Paris, Imago, 1987. Voir également : Michel
Cazenave, la Subversion de l’Âme, mythanalyse de
l’histoire de Tristan et Yseult , Paris, Seghers, 1981.
    [101] Chanson de Charles Trénet.
    [102] Une comparaison des différentes versions fait apparaître la duplicité
de la suivante d’Yseult, Brengwain, qui se trompe volontairement de flacon, sur
l’ordre de sa maîtresse, laquelle, depuis longtemps amoureuse de Tristan, veut
ainsi obliger celui-ci à se déclarer. C’est l’exact équivalent du geis irlandais.
    [103] Manuscrit du XV e  siècle conservé
à la Bibliothèque de Cardiff. Publié par J. Loth dans Revue celtique , XXXIV, pp. 358 et suiv.
Extraits et commentaires dans J. Markale, l’Épopée
celtique en Bretagne , Paris, Payot, 3 e  éd., 1984,
pp. 215-223.
    [104] Version norroise.
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