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L'énigme des vampires

L'énigme des vampires

Titel: L'énigme des vampires
Autoren: Jean Markale
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 siècle, Llywarch-Hen.
J. Markale, les Grands Bardes gallois ,
nouv. éd., Paris, Picollec, 1981, p. 54.
    [132] J. Markale, Contes populaires de toutes
les Bretagne , Rennes, Ouest-France, 1977, pp. 101-108.
    [133] J. Markale, la Tradition celtique en
Bretagne armoricaine , pp. 201-211. Pour être précis, je dois dire
que j’ai combiné en un seul récit les éléments empruntés à deux versions, l’une
du Finistère, l’autre du Morbihan, en le signalant à chaque fois.
    [134] Recueillie, avec des variantes, par Claude Seignolle, les Évangiles du Diable , pp. 822-826. Dans
cette version périgourdine, le Corps sans Âme, qui n’est jamais nommé ainsi,
est le Diable lui-même.
    [135] La version périgourdine est encore plus simpliste. Là, l’âme du Diable
« se trouve dans un œuf de pigeon qui se trouve dans le ventre d’un lion
qui se trouve au-delà de la mer » (C. Seignolle, p. 825). De
même, dans la variante : « Rien ne pourra me faire mourir que si on
tue un certain lion ; qu’on l’éventre ; qu’on éventre la colombe qui
sortira de son ventre et qu’on me casse sur la tête l’œuf qui se trouve dans le
ventre de cette colombe » ( ibid. ,
p. 826).
    [136] Dans la version de Haute Bretagne, il y a treize œufs dans la perdrix,
et c’est la femme du Corps sans Âme elle-même qui brise le treizième œuf sur le
front du monstre. « Dès que l’œuf fut écrasé, le Corps sans Âme s’effondra
et mourut. Le jeune homme resta dans le château avec la veuve du Corps sans
Âme. Il se maria avec elle et ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs
jours. » Il en est de même dans la version périgourdine.
    [137] Voir Laënnec Hurbon, le Barbare imaginaire ,
Paris, Éd. du Cerf, ainsi que Wade Davis, Passage of
Darkness , University of North Carolina, 1989.
    [138] J. Loth, les Mabinogion , pp. 221-222.
    [139] J. Markale, l’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 119-121.
    [140] J. Loth, les Mabinogion , pp. 29-31.
    [141] Ovide, Métamorphoses , livre VII, vers
159-293.
    [142] La Pharsale , VI, vers 520 et
suivants.
    [143] Traduction Pierre Grimal, pp. 39-40.
    [144] Quête du Saint-Graal , trad. Albert
Pauphilet, Melun, 1949, pp. 58-59.
    [145] On trouvera une recension de ces interprétations diverses dans
J. Markale, le Graal , édition abrégée de
poche, Paris, Retz, 1989, ainsi que dans Brocéliande
ou l’énigme du Graal , Paris, Pygmalion, 1988. Il faut aussi signaler le
recueil Scènes du Graal , traductions et présentations
de D. Buschinger, A. Labia et D. Porion, Paris, Stock, 1987, et la Légende arthurienne , présentée par Danielle
Régnier-Bohler, Paris, Laffont, 1989. Le numéro spécial des Cahiers du Sud
intitulé « Lumière du Graal », publié en 1951 et réédité depuis,
demeure toujours une source d’informations et de réflexions très précieuses.
    [146] J. Loth, les Mabinogion , pp. 200-201.
    [147] G. Dottin, l’Épopée irlandaise ,
nouv. éd., Paris, 1981, p. 17.
    [148] Trad. Ch.-J. Guyonvarc’h, Ogam ,
XVI, p. 244.
    [149] Trad. Guyonvarc’h, Ogam , X,
p. 380.
    [150] J. Markale, l’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 171-184.
    [151] J. Markale, l’Épopée celtique d’Irlande ,
pp. 114-122.
    [152] J. Loth, les Mabinogion , p. 114. La lance de Bedwyr a
aussi la particularité de produire une blessure en entrant dans le corps, mais
neuf blessures en ressortant.
    [153] Ce n’est pas par hasard si en France, le patron des vignerons est
« saint » Vincent = en kabbale
phonétique, cela donne : « vin-sang » !
    [154] Pétrone, Poésies , XXXII, traduction
de Maurice Rat.
    [155] Trad. Albert Pauphilet, pp. 64-65.
    [156] Ibid. , pp. 67-68.
    [157] Cela soulève un autre problème : à de rares exceptions près, le
rituel catholique romain (contrairement au christianisme orthodoxe) prive les
fidèles du Sang de Jésus. Au lieu de la communion sous les deux espèces, on se
contente de donner « le corps du Christ ». Faut-il en conclure que
les prêtres se réservent le droit exclusif de « boire le sang du
Christ » ? Quelles que soient les raisons invoquées quant à l’usage
de cette communion incomplète , on ne peut nier
qu’il y ait là une incohérence. Il faut d’ailleurs remarquer une fois de plus
la dichotomie entre les usages catholiques romains et les usages orthodoxes, ce
qui n’est pas inintéressant quand on sait que le concept classique du vampire
s’est développé dans un contexte
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