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Le Temple Noir

Le Temple Noir

Titel: Le Temple Noir
Autoren: Eric Giacometti
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celui de maître, existent d’autres grades pratiqués dans les ateliers supérieurs, dits de perfection. Le Rite écossais, par exemple, comporte 33 grades.
    Hekkal  : partie centrale du temple.
    Hiram  : selon la légende, l’architecte qui a construit le Temple de Salomon. Assassiné par trois mauvais compagnons qui voulaient lui arracher ses secrets pour devenir maîtres. Ancêtre mythique de tous les francs-maçons.
    Loge  : lieu de réunion et de travail des francs-maçons pendant une tenue.
    Loge sauvage  : loge libre constituée par des maçons, souvent clandestine, et qui ne relève d’aucune obédience.
    Loges rouges et noires : loges dites ateliers supérieurs où l’on confère les hauts degrés maçonniques.
    Maître des cérémonies  : officier qui dirige les déplacements rituels en loge.
    Obédiences  : fédérations de loges. Les plus importantes, en France, sont le GODF, la GLF, la GLNF, la GLFF et le Droit Humain.
    Occident : ouest de la loge où officient le premier et le second surveillant ainsi que le couvreur.
    Officiers  : maçons élus par les frères pour diriger l’ Atelier .
    Orateur  : un des deux officiers placés à l’ orient.
    Ordre  : signe symbolique d’appartenance à la maçonnerie qui ponctue le rituel d’une tenue.
    Orient  : est de la loge. Lieu symbolique où officient le Vénérable, l’ Orateur et le Secrétaire.
    Oulam : nom hébreu du parvis.
    Parvis  : lieu de réunion à l’entrée du temple.
    Pavé mosaïque  : rectangle en forme de damier placé au centre de la loge.
    Planche  : conférence présentée rituellement en loge.
    Poignée maçonnique  : poignée de reconnaissance rituelle que s’échangent deux frères.
    Rite  : rituel qui régit les travaux en loge. Les plus souvent pratiqués sont le Rite français et le Rite écossais.
    Rite Pierre Dac  : rituel maçonnique parodique, créé par l’humoriste et frère du même nom.
    Rites égyptiens  : rites maçonniques, fondés au XVIII e  siècle et développés au XIX e , qui s’inspirent de la tradition spirituelle égyptienne. Le plus pratiqué est celui de Memphis-Misraïm.
    Salle humide  : endroit séparé du temple où ont lieu les agapes.
    Secrétaire  : il consigne les événements de la tenue sur un tracé.
    Signes de reconnaissance : signes visuels, tactiles ou langagiers qui permettent aux francs-maçons de se reconnaître entre eux.
    Sulfure  : simple presse-papier... maçonnique.
    Surveillants  : premier et second. Ils siègent à l’ Occident. Chacun d’eux dirige une colonne, c’est-à-dire un groupe de maçons durant les travaux de l’ atelier.
    Tablier  : porté autour de la taille. Il varie selon les grades.
    Taxil (Léo)  : écrivain du XIX e  siècle, à l’imagination débridée, spécialisé dans les œuvres antimaçonniques.
    Temple  : nom de la loge lors d’une tenue.
    Tenue  : réunion de l’ atelier dans une loge.
    Testament philosophique  : écrit que le néophyte doit rédiger, dans le cabinet de réflexion, avant son initiation.
    Tracé  : compte rendu écrit d’une tenue par le secrétaire.
    Tuileur  : officier de la loge qui garde et contrôle l’entrée du temple.
    Vénérable  : maître maçon élu par ses pairs pour diriger l’ atelier. Il est placé à l’ Orient.
    Voûte étoilée  : plafond symbolique de la loge.

Les templiers et la pierre
    Les pierres sacrées ont toujours marqué les civilisations. Symboles essentiels du lien entre les dieux et les hommes, on les retrouve à l’origine de toutes les grandes religions. Cette permanence des pierres sacrées nous a fascinés et décidés d’en faire le trésor spirituel de l’ordre du Temple. Ainsi, au moment même où nous corrigions les épreuves, nous avons découvert un témoignage captivant, recueilli lors de la mise en accusation des templiers anglais. C’est lors de l’interrogatoire d’un vieux serviteur de la commanderie de Sumford que ce dernier leur révèle un curieux rituel : quand les frères avaient une décision d’importance à prendre, ils se réunissaient dans une chapelle et se plaçaient devant l’autel. Qu’adoraient-ils, le Christ comme ils l’ont toujours prétendu, le Baphomet comme l’ont affirmé les inquisiteurs ? Ni l’un, ni l’autre. Simplement l’un d’eux s’approchait de l’autel et tirait un objet devant lequel aussitôt tous les frères s’agenouillaient pour l’adorer. Est-il besoin de préciser qu’il s’agissait
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