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Histoire De France 1180-1304

Histoire De France 1180-1304

Titel: Histoire De France 1180-1304
Autoren: Jules Michelet
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plus?—La mort de mon mari.—Qu'aimez-vous le plus?—Ce que j'aime n'est point à moi.»—Le roi, prenant alors un ton plus grave, raconte les phénomènes étranges qui ont, dit-il, accompagné sa naissance: il est venu au monde pendant un tremblement de terre; désigné ainsi par la Providence, il n'a pris les armes que pour accomplir le saint devoir de venger Manfred. Machalda, ainsi éconduite, devint l'ennemie implacable du roi. «Plût au ciel, dit naïvement l'historien patriote, qu'elle eût séduit le roi! Elle n'eût pas troublé le royaume.» Barthol. à Neoc, apud Muratori, XIII, 1060-63. (retour)
    Note 296: «Ce que les autres ne pouvaient supporter était pour eux comme régal et passe-temps... Leur extérieur était étrange et sauvage, et comme ils étaient très-noirs, maigres et mal peignés, les Siciliens étaient en grande admiration et souci, ne voyant venir qu'eux pour défenseurs...» Curita. (retour)
    Note 297: Muntaner. (retour)
    Note 298: «...Piacciati, che'l mio calare sia a petit passi .» Villani. (retour)
    Note 299: «Cio fece per grande sagacità di guerra et per suo gran senno, conciosia cosa ch'egli era molto povero di moneta et da non potere respondere al soccorso et riparo de' Ciciliani... Onde timea che... non si arrendessono... per che non li sentiva constanti ne fermi... et cosi el savio suo provedimento venne bene adoperato.» Villani, c. LXXXV , p. 296. (retour)
    Note 300: «Lo re Carlo... disse con irato animo: Or fost il mort, porse qu'il a fali nostre mandement. » Villani. (retour)
    Note 301: Don Jayme. ( Note de l'Éditeur. ) (retour)
    Note 302: Il est question ici de Frédéric d'Aragon, frère de don Pedro d'Aragon, et qui pendant quelque temps avait été vicaire de son frère en Sicile. ( Note de l'Éditeur. ) (retour)
    Note 303: Ricobald. Ferrar. (retour)
    Note 304: Cette tradition populaire n'est confirmée par aucun texte bien ancien, non plus qu'une bonne partie des traits satiriques qui suivent. (retour)
    Note 305: On sait que Hugues Capet ne voulut jamais porter la couronne. Robert est le premier des Capétiens qui la porta. (retour)
    Note 306: Allusion à la canonisation récente de saint Louis. (retour)
    Note 307: Il s'agit de Charles de Valois. (retour)
    Note 308: Dante, Purgat. (retour)
    Note 309: D. Vaissette. (retour)
    Note 310: Ordonnances. (retour)
    Note 311: «Dictum fuit (in parliamento) quod prælati aut eorum officialis non possunt pœnas pecuniarias Judæis infligere nec exigere per ecclesiasticam censuram, sed solum modo pœnam a canone statutam, scilicet communionem fidelium sibi substrahere.» (Libertés de l'Église gallicane, II, 148.)—On serait tenté de voir ici une ironie amère de l'excommunication. (retour)
    Note 312: Beaumanoir. (retour)
    Note 313: Dupuy, Différend de Boniface VIII. (retour)
    Note 314: Dupuy, Templiers. (retour)
    Note 315: «Ita ut secundus regulus videretur, ad cujus nutum regni negotia gerebantur.» Bern. Guidonis, Vita Clem. V. (retour)
    Note 316: Félibien. (retour)
    Note 317: Montpellier était en même temps un fief de l'évêché de Maguelone. L'évêque, fatigué de la résistance des bourgeois et de l'appui qu'ils trouvaient dans le roi de France, vendit tous ses droits à ce dernier. Ces droits, jusque-là jugés invalides, parurent assez bons pour servir à dépouiller le vieux Jacques. (retour)
    Note 318: «Nous avions un traité avec le roi de France, d'après lequel nous avons fait de vous et de notre duché certaines obéissances à ce Roi, que nous avons cru être pour le bien de la paix et l'avantage de la chrétienté. Mais, par là, nous nous sommes rendus coupables envers vous, puisque nous l'avons fait sans votre consentement; d'autant plus que vous étiez bien préparés à garder et à défendre votre terre. Toutefois, nous vous demandons de vouloir bien nous tenir pour excusés; car nous avons été circonvenus et séduits dans cette conjoncture. Nous en souffrons plus que personne, comme pourront vous l'assurer Hugues de Vères, Raymond de Ferrers, qui conduisaient en notre nom ce traité à la cour de France. Mais, avec l'aide de Dieu, nous ne ferons plus rien d'important désormais relativement à ce duché sans votre conseil et votre assentiment.» Ap. Rymer, t. II, p. 644. Sismondi, VIII, 480. (retour)
    Note 319: «Quis Flandriæ posset nocere, si duæ illæ civitates (Bruges et Gand) concordes inter se forent.» Meyer. (retour)
    Note 320: «In Flandria jam inde ab initio observatum
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