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Histoire De France 1180-1304

Histoire De France 1180-1304

Titel: Histoire De France 1180-1304
Autoren: Jules Michelet
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debitis consiliis et auxiliis opportunis... Cognoscentes quod excrescunt angustiæ cum jam abhorreant laïci et prorsus effugiant consortia clericorum,» Dupuy, Preuves, p. 70.—La lettre est datée de mars, c'est-à-dire probablement antidatée: «Datum Parisiis die Martis prædîcta. Le susdit jour de mars.» Et ils n'ont indiqué auparavant aucun jour. Mais ils ne voulaient point dater de l'assemblée du roi, ne s'étant pas rendus à celle du pape.
    «Et prælati dum non habent quid pro meritis tribuant, imo retribuant nobilibus, quorum progeniteres ecclesias fundaverunt, et aliis litteratis personis, non inveniunt servitores.» Dup., Preuves, p. 69. (retour)
    Note 345: «Tricolori vestitu... Primates inter se dissidentes duos habebant colores, multitudo addidit tertium.» Meyer. (retour)
    Note 346: «Hodie quoque pro symbolo urbis. Virgo sepimento ligneo clausa, cujus in sinu Leo cum Flandriæ lababo cubat...» Sanderus, Gandav. Rer., l. I, p. 51. (retour)
    Note 347: C'était l'inscription de la cloche:
    Roelandt, Roelandt, als ick kleppe, dan ist brandt,
Als ick luve, dan ist storn in Vlaenderlandt.
(Sanderus, t. II, p. 115.) (retour)
    Note 348: «Convenire, conferre, colloqui inter se sub crepusculum noctis multitudo.» Meyer. (retour)
    Note 349: «Primus ausus est Gallorum obsistere tyrannidi Petrus cognomento Rex, homo plebeius, unoculus, ætate sexagenarius, opificio textor pannorum, brevi vir statura nec facie admodum liberali, animo tamen magno et feroci, consilio bonus, manu promptus, flandrica quidem lingua comprimis facundus, gallico ignarus.» Meyer, p. 91.
    «Cumque ad campanam civitatis, non auderent accedere, pelves suas pulsantes... omnem multitudinem concitarunt.» Ibid., p. 90. (retour)
    Note 350: «Primores civitatis, quique dignate aliqua aut opibus valebant. Liliatorum sequebantur partes, formidantes Regis potentiam, suisque timentes facultatibus.» Ibid., p. 91. (retour)
    Note 351: «À la bataille de Courtrai, les Flamands firent venir un prêtre sur le champ de bataille avec le corps de Christ, de sorte qu'ils pouvaient tous le voir. En guise de communion, chacun d'eux prit de la terre à ses pieds et se la mit dans la bouche.» G. Villani, t. VIII, c. LV , p. 335.—V. d'autres exemples de cette communion par la terre dans mes Origines du droit, livre III, ch. IV . (retour)
    Note 352: «Vasa vinaria portasse restibus plena, ut plebeios strangularet.» Meyer.
    «Ut apros quidem, hoc est viros, hastis, sed sues verutis confoderent, infesta admodum mulieribus, quas sues vocabat, ob fastum illum femineum visum a se Brugis.» Ibid., p. 93.—V. ci-dessus page 68: La reine avait dit en voyant les Flamandes: «Ego rata sum me esse Reginam; at hic sexcentas conspicio.» Ibid., p. 89. (retour)
    Note 353: Oudegherst ne parle pas du fossé, sans doute pour rehausser la gloire des Flamands. (retour)
    Note 354: «Incredibile narratu est quanto robore, quantaque ferocia, colluctantem secum in fossis hostem nostri exceperint, malleis ferreis plumbeisque mactaverint.» Meyer, 94.—«Guillelmus cognomento ab Saltinga ... tantis viribus dimicavit, ut equites 40 prostravisse, hostesque alios 1400 se jugulâsse gloriatus sit.» Ibid., 93. (retour)
    Note 355: Meyer. (retour)
    Note 356: Quinze jours avant la bataille de Courtrai, le pape tint dans l'assemblée des cardinaux un discours dont la conciliation semblait le but. Il y dit, entre autres choses, que sous Philippe-Auguste, le roi de France avait dix-huit mille livres de revenus, et que maintenant, grâce à la munificence de l'Église, il en avait plus de quarante mille. Pierre Flotte, dit-il encore, est aveugle de corps et d'esprit, Dieu l'a ainsi puni en son corps; cet homme de fiel, cet homme du diable, cet Architophel, a pour appui les comtes d'Artois et de Saint-Pol; il a falsifié ou supposé une lettre du pape; il lui fait dire au roi qu'il ait à reconnaître qu'il tient son royaume de lui. Le pape ajoute: «Voilà quarante ans que nous sommes docteur en droit, et que nous savons que les deux puissances sont ordonnées de Dieu. Qui peut donc croire qu'une telle folie nous soit tombée dans l'esprit?... Mais on ne peut nier que le roi ou tout autre fidèle ne nous soit soumis sous le rapport du péché ... Ce que le roi a fait illicitement, nous voulons désormais qu'il le fasse licitement. Nous ne lui refuserons aucune grâce. Qu'il nous envoie des gens de bien, comme le duc de Bourgogne et le comte de Bretagne; qu'ils disent en quoi nous
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