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Histoire De France 1180-1304

Histoire De France 1180-1304

Titel: Histoire De France 1180-1304
Autoren: Jules Michelet
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Note 209: Il condamna publiquement Guillaume de Saint-Amour, et Jean de Parme avec moins d'éclat. (Bulæus.) (retour)
    Note 210: Processus de S. Thom. Aquin., ap. SS. Martis, I, p. 714: «Concludit quod Fr. Thomas in scripturis suis imposuit finem omnibus laborantibus usque ad finem sæculi, et quod omnes deinceps frustra laborarent.»—«Fuit (S. Thomas) magnus in corpore et rectæ staturæ... coloris triticei... magnum habens caput... aliquantulum calvus, Fuit tenerrimæ complexionis in carne.» Acta SS., p. 672.—«Fuit grossus.» Processus de S. Thom., ibid. (retour)
    Note 211: Ce mot est significatif pour qui a présente la figure rêveuse et monumentale des grands bœufs de l'Italie du sud. (retour)
    Note 212: Joinville. (retour)
    Note 213: Joinville. Il demanda ensuite à Joinville lequel il aimerait mieux d'avoir commis un péché mortel ou d'être lépreux. Joinville répond qu'il aimerait mieux avoir fait trente péchés mortels.—«Et quand les frères s'en furent partis, il m'appela tout seul, et me fit seoir à ses piez, et me dit: «Comment me déistes vous hier ce?» Et je lis dis que encore li disoie-je, et il me dit: «Vous deistes comme hastiz musarz; car nulle si laide mezelerie n'est comme d'estre en péché mortel, etc.» (retour)
    Note 214: Joinville. «En la doctrine que il lessa au roi Phelipe, son fiuz... il y avoit une clause contenue, qui est tele: «Fai à ton pooir les bougres et les autres mal genz chacier de ton royaume, si que la terre soit de ce bien purgée.» Le Confesseur. (retour)
    Note 215: Joinville. (retour)
    Note 216: Id.—Villani. «On vint un jour lui dire que la figure du Christ avait apparu dans une hostie: «Que ceux qui doutent aillent le voir, dit-il; pour moi, je le vois dans mon cœur.» (retour)
    Note 217: Joinville. (retour)
    Note 218: Voyez sur la Chanson de Roland, par Génin, Renaissance, Introd. (retour)
    Note 219: Alban , Alp ., mont. (retour)
    Note 220: Passage de Guill. au court nez (Paris, introd. de Berte aux grands pieds), cité dans Gérard de Nevers .
    Grant fut la cort en la sale à Loon,
Moult ot as tables oiseax et venoison.
Qui que manjast la char et le poisson.
Oncques Guillaume n'en passa le menton:
Ains menja tourte, et but aigue à foison.
Quant mengier orent li chevalier baron,
Les napes otent escuier et garçon.
Li quens Guillaume mist le roi à raison:
—«Qu'as en pensé,» dit-il, li fiés Charlon?
«Secores-moi vers la geste Mahon.»
Dist Loéis: «Nous en consillerons,
Et le matin savoir le vous ferons
Ma volonté, si je irai o non.»
Guillaume l'ot, si taint come charbon;
Il s'abaissa, si a pris un baston.
Puis dit au roi: «Vostre fiez vos rendon,
N'en tenrai mès vaillant une esperon,
Ne vostre ami ne serai ne voste hom,
Et si venrez, o vous voillez o non.»
    Ms. de GÉRARD de NEVERS , n° 7498, XIII e siècle, corrigé sur le texte le plus ancien du ms. de GUILLAUME AU CORNÈS, n° 6995. (retour)
    Note 221: Le Dit Marcoul et Salomon, n° 7218, et fonds de Notre-Dame N. n° 2. (retour)
    Note 222: Voyez le poëme d'Alexandre, par Lambert le Court et Alexandre de Paris, né à Bernay. (retour)
    Note 223: Le principal dépôt des traditions bretonnes du moyen âge est l'ouvrage du fameux Geoffroy de Monmouth. Sur la véracité de cet auteur et les sources où il a puisé, voyez Ellis, Intr. metrical romances; Turner, Quarterly review, janvier 1820; Delarue, Bardes armoricains; et surtout la dernière édition de Warton (1834), avec notes de Douce et de Park: voyez aussi les critiques de Riston, quelques passages de Marie de France, publiés par M. de Roquefort, 1820, etc. (retour)
    Note 224: Ainsi à Paris, Saint-Jacques-la-Boucherie et Sainte-Geneviève, etc. L'abbé Lebœuf a remarqué sur la façade de cette dernière église un énorme anneau de fer où passaient leur bras ceux qui venaient demander asile.—C'était encore dans l'église qu'on venait déposer les malades, en particulier ceux qui étaient atteints du mal des ardents . (retour)
    Note 225: La cloche d' argent , à Reims, sonnait le 1 er mars, pour annoncer la reprise des travaux agricoles. (retour)
    Note 226: Voyez vol. II, note pag. 157. (retour)
    Note 227: Le légat, Pierre de Capoue, défendit en 1198 la célébration de cette fête dans le diocèse de Paris. Mais elle ne cessa guère en France que vers 1444. On la trouve en Angleterre en 1530.—En 1671, les enfants de chœur de la Sainte-Chapelle prétendaient encore commander le jour des Saints-Innocents, et
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