Dernières Révélations sur les Templiers

d'alliance
    J'ai déjà écrit, dans Les Mystères de la cathédrale de Chartres., qu'il est bien évident que Bernard de Clairvaux n7avait pas envoyé Hugues de Payns ni son oncle André de Montbard pour garder des routes. Ce ne pouvait être, non plus, la raison pour laquelle Eustache de Boulogne S'était séparé de ses chevaliers. Ou encore pour laquelle Hugues de Champagne avait, en II25, abandonné son comté et rejoint les neuf chevaliers dans le Temple de Salomon.
    Si cette mission avait été la " vraie ", ils l'eussent tous pu accomplir simplement en aidant les Hospitaliers de Saint-Jean.
    Cette protection de la route pèlerine, ils l'ont cependant assurée selon la promesse qu'ils en avaient faite, et ils persisteront à le faire autant qu'ils le pourront, même lorsque le Temple sera devenu extrêmement puissant.
    Cette protection de la route mise à part, ils vivent en moines et non point en chevaliers.
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    Les mystères templiers
    plus tard, lorsque l'ordre sera Dfficiellement constison armée en Palestine, à tué et qieil possédera rôle bien défini : la défense ceil@ sera assigné un t pas de même de des Lieux saints.
    Mais il n7en es
    ][118 à II28.
    s. ils ne P@cipent à aucun Durant tout ce temp
    combat... Et pourtant.. règne5, en iiis, Baudouin II Dès le début de son p- de Damas nui lui déclare la doit faire face à l'atabe. pille Tib& guerre, se jette sur la GaUléc4 surprend et ain aux riade, ravage la pro@vince., Puis va donner la mFa@des à Ascalon. L'armée égyptienne fait un
    nouvel effort contre les Francs, rassemble une flotte à Tyr et envoie une nouvelle armée à Ascalon.
    Baudouin est vainqueur à Tibériade mais@ en II19-i il lui faut défendre Antioche contre El-Ghazi., se pr& . menace munir contre une grande armée turque qul
    Apa,née. Après des désastres divers., il doit faire campagne3 en II20,, Contre ce même El-Ghaz; can'PaPec en II213 contre la Syrie du Nord; campagne encore
    contre la même., en II22; en II23, il est fait PrsDn-
    -1 - liurput par les Arni&
    nier, libéré de la forteresse cie rançon. En li@ niens; il est repris, libéré contre allié aux Bédouins., il assiège Alep qu7ii prend en II25.
    C
    coalition musul-
    ,e il écrase une
    .tte même amée@ I!…@t de Damas...
    mane, se bat contre
    Vous trouverez cela dans tous les bons historiens... Les neuf chevahen du Temple gardent leur route . Aussi pressant que puisse être le danger., ils pèlerine part à aucun combat) restent seuls et lie ne prennent recrutent personne.
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    Varche d'
    D est évident qu'ils ne sont pas là pour en découdre. Mais ils o=pent remplacement du Temple de Salomon dont on finit par les @
    occupants. Et dont ils déblaient les é=es souterraines. que de place pour neuf pauvres chevaliers, si pauvres que, sur la foi d'un sceau qui sipffie bien autre chose, la légende assurera qu'ils n7avaicnt qteun seul cheval pour deux!
    Une seule clé à ce mystère : les neuf chevaliers ne sont pas venus seulement pour protéger les pèlerins, mais encore pour trouver, garder, emporter quelque chose de particulièrement important, de particulièrement sacré qui se trouve à l'emplacement du Temple de Salomon : lArche d'@ce et les Pierres de la LuL
    Il y a une légende de lArche, une histoire légen7. daire; plus histoire que légende, sans aucun doute. Sous une forme ou sous une autre, d'est cette même légende qui se présente à chaque èm.. Elle marque une continuité de on de documents oeune civilisation à celle qui lui succédem

    e J'ai fait le Monde avec Mesure, avec Nombre et avec Poids i>, dit létemel dans la Genèse, ce qui sipffie qu'il @ste une loi physique générale régissant l'ensemble de Funivers.
    De oette loi, la science humaine, issue de l'observation, possède des bribes, mais seulement des bribes. Et le rêve de tous les chercheurs, de tous les savants a toujours été de remonter de ces bribes à la Loi générale.
    U serait sans doute absurde d'imaginer que l'homme, 27
    Les mystères temple
    avec le faible cerveau dont il dispose., puisse parvenir à la connaissance totale de cette Loi> mais il serait surde de croire que les Voies qui Y non moins ab
    mènent lui sont totalement interdites.
    il apparaît bien que des hommes> particulièrement intelligents., ou particulièrement instinctifs, ou particulièrement intuitifs - Ou même que l'on peut imaent trouvé ces giner être venus d' "ailleurs" - a'
    voies et soient même allés fort loin dans la con=s-sance