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Romandie

Romandie

Titel: Romandie
Autoren: Maurice Denuzière
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toiles
rapportées de la Grenade et une vingtaine d’œuvres plus modestes représentant
des paysages et des scènes de la vie vaudoise. Paul Morand (1888-1976), exilé à
Vevey de 1944 à 1951, a consacré un bel ouvrage au peintre-planteur : Monsieur
Dumoulin à l’île de la Grenade, Éditions de Fontainemore, Paudex (Suisse),
1976.
    [19] Né en 1790 aux Granges-sur-Riex, Lavaux, canton de
Vaud, mort à Lausanne en 1849. Qualifié de chasseur dans la liste des
domestiques de l’empereur à Sainte-Hélène, il servait à table avec
Louis-Etienne Saint-Denis, dit Ali. Il épousa en 1819, à Longwood, une
Française, Joséphine Brûlé, femme de chambre de M me  de Montholon,
de qui il divorça après son retour en France en 1821. Rentré à Lausanne après
la mort de Napoléon, il devint une personnalité locale et fut élu conseiller
communal, puis membre du Grand Conseil vaudois en 1848. Il se remaria, le
9 septembre 1847, avec Marie Schuler. Aucune de ses épouses ne lui donna
d’enfant. L’héritier institué de Jean-Abram Noverraz fut son neveu,
Samuel-Joseph Noverraz, fils de sa sœur Jeanne-Suzanne.
    [20] Cette mèche de cheveux, rapportée à Lausanne par Noverraz,
a fait l’objet, au cours de l’automne 1994, d’une analyse fine par le
laboratoire de géologie rattaché au département de génie civil de l’École
polytechnique fédérale de Lausanne. Utilisant un spectromètre à haute
résolution, les scientifiques vaudois ont établi que les cheveux de l’empereur
contenaient une dose d’arsenic sept fois supérieure à la normale. Cette
constatation relance la théorie, fortement contestée par ailleurs, d’un
empoisonnement volontaire de l’empereur à Sainte-Hélène. Sous la signature
d’Olivier Grivat, le journal 24 Heures, de Lausanne, a consacré, le
4 octobre 1994, un long article à l’analyse de la mèche impériale, que
l’on peut voir au musée d’Archéologie et d’Histoire, à Lausanne.
    [21] Ces fusils à silex, portant sur canon et platine
« Le Page, arquebusier de l’empereur, Paris », comme les selles et
brides, que ne put recevoir le duc de Reichstadt, font partie du legs que fit
Noverraz, en 1848, au musée de son canton natal.
    [22] Cité par Christine Amsler, dans les Promenades
publiques de Genève de 1680 à 1850, catalogue de l’exposition organisée à
la Maison Tavel, à Genève, en 1993.
    [23] Une reproduction de cette broderie de Pernette
Dufour, qui figure aujourd’hui dans une collection privée, à Genève, accompagne
une étude d’André Corboz, constituant, sous le titre la Refondation de
Genève en 1830 (Dufour, Fazy, Rousseau), un tiré à part de la revue Genava, tome XL, 1992.
    [24] Jean-Élie, dit John-Etienne Chaponnière, né en 1801,
mourut le 18 juin 1835, avant d’avoir pu réaliser ce projet, qui fut
finalement abandonné. Il est l’auteur d’un des bas-reliefs de l’arc de triomphe
de l’Etoile, à Paris : la Prise d’Alexandrie par Kléber, 1834.
    [25] Né à Genève en 1710, mort à Rolle en 1793. Membre du
Grand Conseil de Genève et procureur général au moment de l’autodafé.
L’homonyme de ce magistrat, Théodore Tronchin (1709-1781), médecin, est
l’inventeur d’une table à écrire à plateau inclinable, qui porte son nom.
    [26] La Rochefoucauld.
    [27] Tais-toi, mauvaise langue ! C’est une gentille
enfant gâtée.
    [28] Nom donné aux bouviers.
    [29] Petits bergers des alpages.
    [30] La montée à l’alpage.
    [31] Premiers prés, gras ou maigres, que montent brouter
les troupeaux, au-dessus de mille deux cents mètres.
    [32] Grosse cloche d’acier, au son grave, portée par la
vache qui conduit un troupeau.
    [33] Instrument constitué par un long manche pourvu à sa
base d’ailettes en fil de fer, comme un fouet de cuisinier, et servant à
malaxer le lait en cours de coagulation pendant la cuisson du gruyère.
    [34] Instituteur.
    [35] François II, Charles IX, Henri III.
    [36] Cet ouvrage a été remplacé, au même endroit, en 1924,
par un ouvrage en ciment armé, reposant sur sept arches de trente mètres.
    [37] Cité par Francis Python dans son ouvrage M gr  Étienne
Marilley et son clergé à Fribourg au temps du Sonderbund. 1846-1856, Éditions
universitaires, Fribourg, Suisse, 1987.
    [38] Crier très fort, brailler.
    [39] Écrasé ce nigaud.
    [40] Ils se sont contentés de le secouer et de lui crier
va-t’en.
    [41] Qui perd facilement le contrôle de ses nerfs.
    [42] Ce tilleul, qui
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