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Romandie

Romandie

Titel: Romandie
Autoren: Maurice Denuzière
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puis du Conseil d’État, chef du département de
l’instruction publique, il fut aussi le principal auteur, en 1873, des lois sur
le culte catholique auquel il était fort opposé. On lui doit la création de
l’école de Médecine de Genève et la transformation de l’Académie de Genève en
université. Il publia des fables et un roman.
    [5] F. T. Perrens, Deux ans de révolution en
Italie, L. Hachette et C ie , Paris, 1857.
    [6] Emma Begoz épousera finalement, en 1842, Stanislas
Bonamici, ancien capucin florentin, prêcheur mondain, devenu moine apostat et
imprimeur à Lausanne. Ami de Mazzini et des révolutionnaires italiens, il
imprimera les écrits des carbonari mais, aussi, les œuvres de l’écrivain
Alessandro Manzoni, modèle du romantisme italien, et des penseurs du Risorgimento.
    [7] Plusieurs cantons suisses sont, ou ont été, au fil
des années, partagés en demi-cantons : Appenzell, Bâle, Unterwald,
anciennement Obwald et Nidwald. Selon les zones linguistiques et les époques,
les orthographes adoptées ont été multiples. Afin d’essayer d’être le plus
clair et le plus précis possible, l’auteur a retenu, pour Bâle-Campagne et
Bâle-Ville, l’orthographe d’usage. Pour Appenzell (Rhodes Intérieures),
Appenzell (Rhodes Extérieures), Appenzell (les deux Rhodes), pour Unterwald (le
Haut), Unterwald (le Bas), Unterwald (le Haut et le Bas), il a choisi
l’orthographe de la Constitution fédérale de la Confédération suisse, du
29 mai 1874.
    [8] Dans son ouvrage le Léman vivant, Paul
Schauenberg rapporte : «  On trouve dans
le registre du Conseil de Genève de 1461, la mention d’un usage traditionnel
consistant à transmettre en hommage au roi de France la plus belle truite du
lac, appelée “la truite royale”. » Henri IV, Louis XIII et Louis XIV, qui en reçut de quarante et cinquante livres, furent parmi les rois de
France ceux qui, semble-t-il, apprécièrent le plus le présent des Genevois.
Éditions Journal-de-Genève et Gazette-de-Lausanne, Genève, 1984.
    [9] Jacques Garnier, Dictionnaire Napoléon établi
sous la direction de Jean Tulard, Arthème Fayard, Paris, 1987.
    [10] Hôtel particulier habité par Talleyrand. Aujourd’hui
annexe de l’ambassade des États-Unis.
    [11] Gazette de Lausanne, mardi 17 décembre
1833.
    [12] Le Barbier de Séville, 1777, Acte I,
scène 2.
    [13] Eva ou Evelyne Hanska, née Rzewuska le
25 décembre 1804 ou 1806 (sa tombe indique 1805), morte à Paris le
11 avril 1882. Elle était l’épouse, depuis février 1819, du maréchal
Wenceslas Hanski, noble de Volhynie.
    [14] Henriette Borel y parvint, après que Balzac fut
intervenu auprès de l’archevêque de Paris, car la postulante avait dépassé la
limite d’âge pour entrer au couvent. Le romancier assista même, en 1846, à la
prise de voile de Lirette sous le nom de sœur Marie-Dominique.
    [15] Partie occidentale et francophone de la Suisse
(actuellement 18 % de la population totale de la Confédération), qui
couvre les cantons limitrophes de la frontière française et des rives du Léman.
La majorité germanophone (65 %) occupe la Suisse septentrionale, centrale
et orientale. On parle italien dans le Tessin et quelques vallées des Grisons
(10 %). Le romanche (1 %), langue rhéto-romane, ne subsiste de nos
jours, grâce à l’obstination des défenseurs de la langue ancestrale, que dans
les Grisons. Les autres langues étrangères (6 %) pratiquées en Suisse sont
le fait d’immigrés. À noter que le français est partout compris, que de
nombreux Suisses sont trilingues et que la grande majorité d’entre eux est
bilingue. Quant au schwyzerdütsch, c’est un ensemble de dialectes alémaniques
que comprennent de nombreux Suisses.
    [16] Aucun document ne l’atteste formellement. Mais la
fille de Sophie, M me  Hilda Diodati (1855-1905), semblait le
croire. Dans son ouvrage Jean-Gabriel Eynard et son temps, Édouard
Chapuisat, qui fut en relation avec M me  Bedot-Diodati,
petite-fille de Sophie Eynard, donne d’intéressantes et troublantes précisions
sur l’ascendance supposée de Sophie. Éditions Alex-Jullien, Genève.
    [17] Il fut, en effet, officiellement adopté et publié par
le Grand Conseil vaudois, le 17 décembre 1834.
    [18] Le Musée historique du Vieux-Vevey, 2, rue du Château,
à Vevey, possède de nombreuses peintures, gouaches, aquarelles et dessins de
Louis Dumoulin. On y voit notamment l’autoportrait de 1832, des
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