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Le Druidisme

Le Druidisme

Titel: Le Druidisme
Autoren: Jean Markale
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,
pp. 23-36.
    [316] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 85.
    [317] Id. , pp. 100-101.
    [318] Id. , p. 134.
    [319] Id. , pp. 91-92.
    [320] M. Eliade, Le Chamanisme , pp. 375-376.
    [321] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 87-88.
    [322] G. Dumézil, Romans de Scythie et d’alentour ,
pp. 84-86.
    [323] M. Eliade, Le Chamanisme , p. 371.
    [324] M. Eliade, Le Chamanisme , p. 371.
    [325] Ibidem.
    [326] M. Eliade, Le Chamanisme , p. 371.
    [327] J. Markale, La Tradition celtique en Bretagne armoricaine ,
pp. 250-254.
    [328] M. Eliade, Le Chamanisme , p. 395.
    [329] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 34-38.
    [330] Voir à ce sujet
J. Markale, Merlin l’Enchanteur ,
pp. 158-195.
    [331] Dans la seconde
branche du Mabinogi gallois, le héros Brân sert lui-même de pont à son
armée (J. Loth, Mabinogion , p. 35), prouvant ainsi qu’il est
non seulement roi, mais druide, donc chaman.
    [332] Voir le récit
de Kulhwch et Olwen dans J. Loth, Mabinogion ,
pp. 99-145. Commentaire sur les personnages dans J. Markale, Le roi Arthur , pp. 269-277.
    [333] Voir
J. Markale, La Tradition celtique en Bretagne
armoricaine , pp. 273-281.
    [334] Quant à moi, je
me refuse à parler ici de « cartésianisme ». Les Français ne sont pas cartésiens , comme on le répète toujours, mais aristotéliciens . Non par nature, mais par apprentissage
scolaire. C’est commettre une injustice envers Descartes, qui avait bien
compris que la seule réalité était celle de l’esprit, que la seule réalité
démontrable était celle de la Pensée. C’est, il me semble, assez éloigné du
réalisme vulgaire qui ne croit que ce qu’il perçoit.
    [335] Certaines sont
des sociétés déclarées officiellement (type loi de 1901), d’autres des groupes
d’études, d’autres des réunions sans statut juridique.
    [336] Pour tout ce
qui concerne le néo-druidisme et les confréries actuelles, je renvoie à
l’ouvrage de Michel Raoult, Les Druides, les sociétés
initiatiques contemporaines , Monaco, éd. du Rocher, 1983. Il s’agit
d’une présentation historique très claire du problème, suivie d’une enquête
serrée, fort documentée. On y trouvera les renseignements essentiels sur toutes
les confréries druidiques répertoriées, ainsi que des aperçus sur leurs
doctrines et leurs rituels. L’auteur ne prend pas position, et son livre offre
toutes les garanties de l’objectivité.
    [337] En particulier les
spéculations ésotériques ou dites telles sur le « Pierre de Jacob »,
ramenée de Palestine, et qui, plantée à Tara, aurait constitué la Pierre de
Fâl. Cette Pierre de Fâl, transportée ensuite dans l’île d’Iona, serait devenue
la fameuse Pierre de Scône, qui servait au couronnement des rois d’Écosse. La pierre du couronnement actuellement à Londres serait
donc cette « Pierre de Jacob ». Une autre légende délirante ferait de
l’île d’Iona, siège du célèbre monastère de saint Columeill, un des hauts lieux
de ce syncrétisme celto-hébraïque, car le nom d’Iona serait celui de saint Jean
(le Baptiste), autrement dit Jokanaan. C’est très simple, et il suffisait d’y
penser.
    [338] Sur tout ce
sujet, je renvoie à mon ouvrage sur Le Christianisme
celtique.
    [339] Cité par Guyonvarc’h-Le
Roux, Les Druides , p. 328, qui proposent
ce commentaire : « Tout dieu a la compétence totale de son domaine
fonctionnel et théologique. Il est donc druide par définition. Quant au druide
humain, il est « dieu » pour au moins deux raisons : premièrement
parce qu’il descend, en ligne directe, in principio ,
des druides primordiaux… ; secondement parce que ses capacités et ses
connaissances en font un intermédiaire entre les dieux et les hommes. Le druide
des anciens Celtes est bel et bien un dieu terrestre. » On pourrait
ajouter que le druide est « dieu terrestre » en tant qu’incarnation
temporaire d’une fonction divine, comme le prêtre catholique, lorsqu’il
prononce les paroles sacramentelles de la consécration, est lui-même Jésus-Dieu
à ce moment-là.
    [340] Voir
« L’œuf de serpent », Ogam , XX,
pp. 495-504, et J. Gricourt, « L’Ovum anguinum en Gaule et en
Perse », Ogam , VI, pp. 227-232,
ainsi que Guyonvarc’h Le Roux, Les Druides ,
pp. 321-323.
    [341] On en verra de
nombreux exemples dans Lancelot Lengyel, L’Art
gaulois dans les médailles , Paris, 1954.
    [342] Un bon exemple
de ce
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