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Le Druidisme

Le Druidisme

Titel: Le Druidisme
Autoren: Jean Markale
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avec Ogmios : le nom grec a dû recouvrir
un nom indigène, et se répandre ainsi dans tout le territoire celte, jusqu’à
l’Irlande, où il est devenu Ogmé (ou Ogma).
    [126] Textes
mythologiques irlandais , I, p. 53.
    [127] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 119.
    [128] Trad.
Guyonvarc’h, Ogam , XIII.
    [129] J. Loth, Mabinogion , p. 169.
    [130] Textes mythologiques irlandais , I, pp. 58-59.
    [131] G.
Dottin,  L’Épopée irlandaise , p. 17.
    [132] J. Markale, L’Épopée celtique en Bretagne ,
pp. 94-100.
    [133] J. Markale, Le Graal , pp. 186-199 (chapitre sur
« La Coupe et le Chaudron »).
    [134] Textes mythologiques irlandais , I, p. 53.
    [135] Textes mythologiques irlandais , I, p. 53.
    [136] Id .,
p. 54.
    [137] Textes mythologiques irlandais , I, pp. 242-243.
    [138] J. Loth, Mabinogion , p. 35.
    [139] Id. , pp. 39-42. Voir
J. Markale, L’Épopée celtique en Bretagne ,
pp. 51-53.
    [140] Voir le
chapitre « Delphes et l’aventure celtique » dans J. Markale, Les Celtes .
    [141] J. Markale, La Femme celte , pp. 111-121 et 198-206.
    [142] J. Markale, Le Graal , pp. 225-230.
    [143] Voir
J. Markale, Le Roi Arthur ,
pp. 92-95, et Merlin l’Enchanteur ,
pp. 37-39.
    [144] J. Markale, L’Épopée celtique en Bretagne , p. 237. Ce
Gwrgant, au cours d’une expédition maritime, rencontre un groupe de navires
dont le chef n’est autre qu’un certain Partholwn, dans lequel il est facile de
reconnaître le Partholon de la tradition irlandaise, le premier envahisseur
post-diluvien de l’Irlande. L’Historia de Geoffroy est contemporaine de la
rédaction du Livre des Conquêtes . Rabelais,
qui connaissait à la fois la tradition populaire française et les textes
érudits du Moyen Âge, s’est souvenu de l’expédition maritime de Gwrgant et en a
tiré parti dans la navigation de Pantagruel du Quart
Livre .
    [145] Dans certains
milieux universitaires, on a dit beaucoup de mal d’Henri Dontenville, en
critiquant notamment son absence de rigueur scientifique et en l’accusant de
délire d’interprétation. Certes, cette rigueur fait cruellement défaut dans les
ouvrages d’Henri Dontenville, lequel prend souvent ses désirs pour des réalités
et les apparences pour des vérités absolues. Mais il faut reconnaître qu’il
s’est livré à un fantastique travail de défrichage d’un terrain encore vierge,
faisant apparaître, çà et là, des observations précieuses, notamment à propos
de Gargantua et de Mélusine. Le grand mérite d’Henri Dontenville a été, à la
suite des travaux purement ethnographiques de Paul Sébillot, de se poser des
questions précises à propos de personnages classés définitivement comme
« folkloriques », et aussi d’avoir suscité une remarquable Société de
Mythologie Française, dont l’action patiente et désintéressée est riche en
éléments de connaissance et de réflexion.
    [146] Pas plus Paul
Sébillot qu’Henri Dontenville ou Claude Gaignebet, pourtant persuadés de
l’origine celtique de Gargantua.
    [147] Voir « le
roi Konomor » dans J. Markale, La Tradition
celtique en Bretagne armoricaine , pp. 22-26. J’ai procédé moi-même
à une enquête serrée sur ce récit recueilli dans mon pays d’origine. Le
« mauvais seigneur de Camors, ou Kamorh » dont il est question n’est
jamais nommé, mais il ne peut s’agir que de Konomor, que certaines traditions
attribuent comme éponyme de Kamorh. Au sud de la forêt de Camors, il s’agit du
« mauvais seigneur de Lanvaux ». Je n’ai jamais entendu que des
fragments de la légende, et personne n’a pu m’expliquer le nom du Gergan. Par
contre, on attribue son métier de vendeur de sel à la contrebande qui
s’exerçait autrefois dans la région à partir des salines de Carnac. Le vendeur
de sel est donc un marginal, un hors-la-loi qui secourt une femme pourchassée
par son mari, donc hors-la-loi elle-même. Personne n’a identifié la femme du
seigneur de Camors, ou de Lanvaux, avec sainte Trifine, dont la légende est
pourtant connue non loin de là, et qui est effectivement l’épouse de Konomor. Mais
dans la légende officielle, hagiographique, elle est sauvée par saint Gildas.
Enfin, personne ne m’a parlé de Gargantua, et Rabelais est totalement inconnu.
    [148] P. M. Duval, Les Dieux de la Gaule , nouv. éd., p. 74.
    [149] P. M. Duval, Les Dieux de la Gaule , nouv. éd., p. 74.
    [150] Texte et trad.
par M. L. Sjoestedt,
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