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Le Druidisme

Le Druidisme

Titel: Le Druidisme
Autoren: Jean Markale
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notamment des jeux de mots, des
ressemblances entre des noms appartenant à divers groupes de langues (Carnac et
Karnak, par exemple), un mépris total des textes fondamentaux, qui ne sont
connus que par ouï-dire, et toujours d’après des citations de troisième ou de
quatrième main, le tout caractérisé par un manque systématique de références et
un appel à la crédulité publique. Les prophètes et les gourous pullulent à
propos des Celtes et du druidisme.
    [238] Dans un autre
registre, il faut poser le problème de René Guénon qui sert de maître à penser
à de nombreux spiritualistes sincères. Chaque fois que Guénon fait référence
aux Celtes dans son œuvre abondante, il mélange tout, et surtout, il accumule
des contre-vérités consécutives à un manque d’informations. Cela jette un
certain discrédit sur les autres faces de son œuvre. Pourquoi les écrivains qui
font dans l’ésotérisme ne citent-ils jamais leurs sources ? C’est très
simple : parce que c’est un secret et qu’ils
n’ont pas le droit de le dire . Je sais bien que c’est l’armature de
l’ésotérisme, mais il y a quand même des limites à respecter sous peine de
tomber dans l’abus de confiance.
    [239] J. Markale, Les grands Bardes gallois , p. 110.
    [240] W. Stokes, Three Irish Glossaries , p. 6.
    [241] J. Markale, Le Christianisme celtique , pp. 195-203.
    [242] Id. , pp. 33-34.
    [243] Revue celtique , XLIII, p. 109.
    [244] Claude
Gaignebet, Le Carnaval , Paris, Payot, 1974,
p. 74.
    [245] Id. ,
p. 74. Le texte irlandais, que Claude Gaignebet ne connaissait pas quand
il a composé son ouvrage, renforce les arguments de l’auteur.
    [246] J. Markale, La Tradition celtique en Bretagne armoricaine ,
p. 166.
    [247] Id. , p. 167.
    [248] Id. , p. 167.
    [249] J. Loth, Mabinogion , pp. 30-31.
    [250] J. Loth, Mabinogion , pp. 30-31.
    [251] Trad. Guyonvarc’h, Ogam ,
XIII. Voir le résumé et le commentaire dans J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , pp. 114-122.
    [252] Trad.
Guyonvarc’h, Ogam , XIII. Voir le résumé et le
commentaire dans J. Markale, L’Épopée celtique
d’Irlande , pp. 114-122.
    [253] Voir Paul
Sébillot, Le Folklore de la France , réédité en
plusieurs volumes depuis 1982 par les éditions Imago, Paris. On y trouvera une
prodigieuse quantité d’informations précieuses.
    [254] Bulletin de la
Faculté des Lettres de Poitiers , année 1892 .
    [255] Bulletin de la
Faculté des Lettres de Poitiers , année 1892 .
    [256] Chroniqueur
gallois de la fin du XII e  siècle qui nous
a transmis d’utiles informations sur les croyances et les usages des Celtes en
Irlande et en Grande-Bretagne, et sur leurs survivances à son époque. Voir
J. Markale, La Femme celte , p. 115.
    [257] « La
maladie de Cûchulainn », Ogam , X,
p. 294.
    [258] Le héros Cûchulainn,
en tuant le chien du Forgeron, accomplit un authentique sacrifice qui pèsera
d’ailleurs lourd sur sa destinée. Voir J. Markale L’Épopée celtique, d’Irlande , pp. 81-82.
    [259] J. Markale, Le Christianisme celtique , p. 141.
    [260] Voir Roland Auguet, Les Fêtes romaines , Paris, Flammarion, 1970
    [261] Dans le récit
irlandais du Festin de Bricriu , Cûchulainn est
obligé de couper la tête du géant Uath à condition qu’il revienne, un an plus
tard, se faire lui-même couper la tête par Uath. Cûchulainn coupe la tête d’Uath,
qui s’en va comme si de rien n’était. L’année suivante, Uath se contente de
poser sa hache sur le cou de Cûchulainn. C’est l’aventure bien connue de
Gauvain et du Chevalier Vert dans les romans arthuriens. L’exemple est
significatif. Voir J. Markale, L’Épopée celtique
d’Irlande , pp. 112-113.
    [262] J. Markale, L’Épopée celtique d’Irlande , p. 183.
    [263] Id. ,
p. 136.
    [264] Étude plus
détaillée du rituel de la « Tête Coupée » dans J. Markale, Le Graal , pp. 205-212. Voir également, à propos
des représentations plastiques du thème, François Salviat, Entremont antique , Aix-en-Provence, 1973.
    [265] Pour être
complet, il faudrait mentionner les usages populaires qui se sont maintenus un
peu partout, même dans me cadre du christianisme, notamment l’acte de jeter une
pièce de monnaie dans une fontaine christianisée ou non.
    [266] Aucun texte
ancien ne mentionne de fête celtique aux alentours des solstices d’hiver et
d’été. La fête de la Saint-Jean, qui est chrétienne, a récupéré certains rites
du 1 er
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