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Dernières Révélations sur les Templiers

Dernières Révélations sur les Templiers

Titel: Dernières Révélations sur les Templiers
Autoren: Pascal Le Charpentier
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de sag ternplière était mais la <@ fraternité b militaire
    gieux@ .10@ pour le noy, de constituée de moines (au
    40
    Le Concile de Troyes
    J'Ordre). Ce n'étaient pas des militaires qui pouvaient être religieux, mais des religieux; militaires parce que religieux.
    On a, un peu vite, confondu chevalerie et courtoisie. Or, les rapports entre Templiers et Mus furent, quand ce n'était pas le temps d'en découdre
    - rarement - de courtoisie, parfaitement compréhensible en ces temps o˘ les haines raciales et nationales étaient absolument inconnues - sauf, évidemment, en Extrême-Germanie.
    Il est possible que parfois ces rapports aient été d'amitiél sans qu'on en puisse tirer des conclusions aussi h‚tives que celles qui ont été avancées.
    que les combattants de Palestine, lorsqu'ils revenaient en Occident, aient rapporté des façons de vivre nouvelles, des décors, des cuisines, rien d'extraordinaire à cela. Nous avons bien rapporté d'Afrique du Nord le couscouss et le méchoui sans pour cela que l'amateur de couscouss puisse être considéré comme initié à l'ésotérisme coranique...
    L'Ordène de @alerie, poème de cinq cents et quelques vers écrit en dialecte picard vers le con-unencement du xiiie siècle, raconte comment, en l'an i i 87, l'Ordre de chevalerie fut donné à Saladin par Hugues de Tibériade. Ce qui serait au moins étonnant si la chevalerie occidentale venait d'Orient.
    Ceci ne veut point dire que des contacts n'aient pas eu lieu entre Templiers et Soufis. Il est également Possible qu'une certaine sagesse soufique ait été acceptée et transmise à l'intérieur du Temple. Voire un enseignement ésotérique. Mais quelle preuve en 41
    Les mystères tempes
    pou.rrait-on fournir? Il est également non pas POSmais Drobable que les fraternités de construc-sible-,
    et les protégés des
    teurs religieux les Mus s
    ui dépassèrent sans
    Templiers aient eu des contacts q
    ne change
    doute les relations de métier. Tout cela
    Point le fait que la chevalerie du Temple est entlrela règle de saint Bernud - qui ment contenue dans e lorient-n,avait nul besoin d qeon accuse toujours le Il est d'ailleurs curieux che n7est
    Temple d7Oriental'sme alors que ce repro alem jamais adressé
    à lordre de Saint-jean-de-jérus qui@ antérieur au Temple en Proche-Orient., avait,
    beaucoup Plus l‚che qui aurait
    en plus, une discipline rapports avec les permis de bien plus fructueu"
    "sages " de lislam, -t-on qu7aux riches, et la Sans doute ne prête . sait trOP gran@e richesse initiatique du Temple Parals
    pour venir directement de celui qui l' " ensel-gna ". drait souligner également que elt à l'époque L fau du Teniple3 q˘appa-de la fondation., à TrOyes-,
    fondements de la chevalerie sécu raissent les prenuers épandus par la lière tels q,u7ils furent connus et r
    suite. E est hors de doute que l'on utilise là 1 InOYen civilisateur Pour une noblesse deineurée excessivenient barbare. on répand cette chevalerie Par les chansons de geste@ toutes omvres de clercs bénédicaierie " en tins@
    et qui tendent à promouvoir la "Cav
    " chevalerie ". cela fait partie d'un Pl= à
    que l'on n7en doute pas.,
    préconçu de civilisation., au même titre que
    42
    Le Conffle de Troyes
    sification de l'agriculture, de l'artisanat et du commerce.
    Saint Bemard ne cache pas oe qu'il pense des devoirs militaires lorsqu'il écrit à Thibaut de Champagne : " L'épée ne t'a été donnée que pour la défense du faible et du pauvre... " Et toute la mission du Temple tient peut-être dans cette apostrophe du prieur dAngleterre à Henri HI Plantagenêt : t Tu régneras autant que tu seras juste 1 s Une sorte d'enseignement a, dès oe moment, circulé dans la " Chevalerie "
    séculière, avec une idée de " service " qui ne concernait pas seulement le suzerain. Il y eut, du moins dans les contes, un noviciat de chevalerie, des épreuves physiques et morales. Le chevalier, au moins en principe, reçoit une forme d'initiation - sommaire - qui se termine par la t veillée d'armes ".
    En principe - seulement en principe la plupart du temps - le chevalier nouveau est digne de chevaucher la "cabale ", et les armes qu'on lui remet sont nwquées de signes cabalistiques, de toute une symbolique qu'on lui a enseignée et que font respecter les hérauts d'armes.
    De même s'établit une chevalerie de métiers développée dans les fraternités, avec, également, noviciat et épreuves; une chevalerie nourrie de données
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