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Montségur et l'enigme cathare

Montségur et l'enigme cathare

Titel: Montségur et l'enigme cathare
Autoren: Jean Markale
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informations sérieuses et les élucubrations
de certains passionnés qu’il prend pour argent comptant sans en vérifier
l’authenticité. C’est fort dommage, car le mérite de Michel Lamy est grand
d’avoir ouvert de larges horizons à propos d’un auteur que tout le monde
croyait connaître et qui se révèle en définitive très complexe.
    [17] René Nelli, Le Phénomène cathare ,
Toulouse, Privat, 1964, p. 188.
    [18] Arno Borst, Les Cathares , Paris,
Payot, 1974, p. 65.
    [19] Voir, chez le même éditeur, L’Énigme sacrée de M. Baigent, R. Leigh et H. Lincoln.
    [20] Parce qu’il aurait été d’ascendance juive, chose abominable et
incompatible avec son appartenance à la S. S. Christian Bernadac avance
des arguments qui prouveraient qu’il ne s’est pas suicidé, mais qu’il a été
écarté par ses supérieurs pour réapparaître ensuite sous une autre identité.
    [21] Cette société n’a rien à voir avec le groupe, plus important, des
Rose + Croix de l’A. M. O. R. C. dont le siège,
très officiel, se trouve dans l’Eure.
    [22] Christian Bernadac, Le mystère Otto Rahn ,
p. 34.
    [23] Ibid ., p. 110.
    [24] Christian Bernadac, Le mystère Otto Rahn ,
p. 11.
    [25] Il faisait de son nom un anagramme de Galad .
Mais, visiblement, il n’a jamais compris que le personnage de Galaad est
inconnu de la version allemande de la légende sur laquelle il prétend greffer
ses élucubrations.
    [26] Chrétien de Troyes, Perceval , trad.
Lucien Foulez, Paris, Stock, 1947, p. 153.
    [27] Ch. Bernadac, Le mystère Otto Rahn ,
pp. 260-261.
    [28] Sur la pensée religieuse des Celtes, leurs conceptions métaphysiques
et leur morale, voir J. Markale, Le Druidisme ,
Paris, Payot, 1985. Sur le passage du druidisme au christianisme et l’attitude
particulière relevée dans les communautés chrétiennes primitives d’Irlande et
de Bretagne, voir J. Marale, Le Christianisme
celtique , Paris, Imago, 1984.
    [29] René Nelli, Le phénomène cathare ,
Toulouse, Privat, 1964, p. 27.
    [30] Voir J. Markale, Siegfried, ou l’Or du
Rhin , Paris, Retz, 1984.
    [31] Ce renversement des valeurs apparaît en Grèce à propos de
l’élimination du serpent Pythôn (déesse-mère tellurique) par Apollon (dieu mâle
céleste) qui en profite d’ailleurs pour s’emparer du caractère solaire de
Diane-Artémis, considérée comme sa sœur jumelle, et rabaissée à un rôle lunaire.
Voir J. Markale, La Femme celte , Paris,
Payot, 8 e  éd., 1985.
    [32] J. Markale, La tradition celtique en
Bretagne armoricaine , Paris, Payot, 4 e  éd., 1984,
pp. 148-168.
     
    [33] J. Markale, La tradition celtique ,
pp. 169-185.
    [34] Ibid. , pp. 186-191.
    [35] J. Markale, Contes occitans ,
Paris, Stock, 1982, pp. 223-233.
    [36] J. Markale, Récit de la mort des pays
de France , Paris, Ch. de Bartillat, 1986.
    [37] J. Markale, La tradition celtique ,
pp. 262-266.
    [38] J. Markale, l’Épopée celtique d’Irlande ,
Paris, Payot, 2 e  éd., 1978.
    [39] G. Dumézil, Romans de Scythie et
alentours , Paris, Payot, 1977.
    [40] A. Gadal, De l’héritage des Cathares ,
Ussat-les-Bains, 1980, éd. par les Rose-Croix de Haarlem, pp. 29 et
suivantes. Au milieu de ce fascicule, se trouve une reproduction ( sic ) de la fameuse peinture entièrement retouchée,
et en couleurs. Un lecteur soucieux d’objectivité pourra voir ce que donne la
réalité grâce à la photographie en noir et blanc, fig. 14, face à la
p. 129 du livre de René Nelli, Le phénomène
cathare , Toulouse, Privat, 1964. La comparaison est éloquente et
constitue la preuve que tous les moyens sont bons pour démontrer ce qui est
indémontrable.
    [41] J’ai longuement commenté le thème des trois couleurs, avec citations
et références à l’appui, dans mon ouvrage Le Graal ,
Paris, Retz, 1982, pp. 27-28. Dans ce livre, j’ai systématiquement analysé
toutes les versions de la légende du Graal, et l’on peut se rendre compte
qu’elles sont toutes différentes.
    [42] R. Nelli, Le phénomène cathare ,
P. 184.
    [43] Wolfram von Eschenbach, Parzival ,
trad. Ernest Tonnelat, Paris,
Aubier-Montaigne, 1934, tome II, p. 342. Toutes les citations
utilisées ici de l’œuvre de Wolfram von Eschenbach sont extraites de cette
traduction d’Ernest Tonnelat, la meilleure à ce jour.
    [44] Sans compter la référence celtique à la Pierre de Tara, en Irlande,
qui est la pierre royale, la pierre du couronnement : elle criait
lorsqu’un futur
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