Le dernier templier

l’incroyable preuve existait encore quelque part, attendant son heure.
    Que l’on croie à sa réalité.
    Et au bon moment — certainement pas de son vivant — quelqu’un serait peut-être capable d’utiliser leur chef-d’oeuvre perdu pour accomplir ce pour quoi ils avaient tous oeuvré.
    Alors, un sourire doux-amer filtra sur son visage tandis qu’une pensée optimiste s’immisçait dans son esprit.
    « Peut-être qu’un jour, songea-t-il, ce sera inutile. Peut-être que le grand projet ne sera plus nécessaire. Peut-être que les individus auront appris à dépasser leurs petits différends, à cesser de se battre pour des questions de foi et à s’élever au-dessus de toutes ces querelles religieuses. »
    Secouant la tête, il écarta cette pensée en se réprimandant pour sa candeur. Puis il reprit sa marche.

Remerciements
    De nombreuses personnes ont généreusement apporté leur contribution à ce livre en partageant leurs connaissances, leur domaine d’expertise ou leur soutien. Je voudrais commencer par remercier mon grand ami Carlos Heneine pour m’avoir fait découvrir les Templiers et, comme toujours, avoir pris du plaisir à débattre avec moi ; Bruce Crowther, qui m’a aidé à pénétrer dans ce nouvel univers ; et Franc Roddam, qui s’y est plongé et lui a permis de prendre son essor.
    Je voudrais aussi remercier personnellement Renaud Bombard et Anne Michel pour leur enthousiasme et leur soutien, ainsi que Sophie Thiébaut et la fabuleuse équipe de représentants des Presses de la Cité. Vous pouvez me traîner au Blue Sky quand vous voulez, vous n’avez qu’à demander.
    Toute ma chaleureuse gratitude aussi à Karsten Diettrich, Deborah Druba, Olivier Granier, Simon Oakes, Cephas Howard, Éric Fellner, Léon Friedman, maître François Serres, Howard Ellis, Adam Goodman et toute l’équipe de Mid-Atlantic Films, à Budapest, pour leur soutien constant, Kevin et Linda Adeson (désolé d’avoir malmené Mitch), le Dr Philip Saba, Matt Filosa, Carolyn Whitaker, le Dr Amin Milki, Bashar et Mona Chalabi, et Patty Fanouraki.
    Un immense remerciement va à mon agent littéraire, Eugenie Furniss. Sans sa passion et des années de soutien permanent, ce livre n’aurait jamais pu exister. Je remercie aussi Jay Mandel, Tracy Fisher et toute l’équipe de l’agence William Morris, ainsi que, bien sûr, Jane Southern.
    Enfin, mais à des galaxies d’être la dernière, je voudrais remercier mon épouse Suellen, mon amie et âme soeur, qui a vécu avec ce projet depuis si longtemps ; un homme ne pourrait souhaiter un plus grand soutien.