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Le Dernier Caton

Le Dernier Caton

Titel: Le Dernier Caton
Autoren: Matilde Asensi
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le vieux Caton est mort il y a quinze jours, et que le nouveau Caton a déjà été élu, le deux cent cinquante-huitième du nom. Il doit être officiellement acclamé dans un mois, dans le temple de la Croix, à Stavros. Il nous prie de venir ce jour-là, car, selon lui, Caton serait plus qu’heureux de notre présence. « Ce jour, ajoute-t-il, le plus beau de la vie de Caton, ne sera pas complet sans vous. »
    J’ai levé les yeux de la lettre, écrite sur le même type de papier épais et rêche qui servait aux stavrophilakes pour nous donner les indices des épreuves, et j’ai regardé Farag, surprise :
    — Je ne sais pas de qui il s’agit, mais nous l’intéressons beaucoup, on dirait. À ton avis, qui est ce nouveau Caton : Ufa, Teodros, Candace ?
    — Regarde la signature, me conseilla Farag, très ému, avec un grand sourire aux lèvres.
    La lettre du capitaine Glauser-Röist était signée : Caton.

Remerciements
     
    Créer des mondes, des personnages et des histoires avec des mots comme outils est une activité qui ne peut se faire que dans la solitude et, en ce qui me concerne, dans le silence de la nuit. Néanmoins, quand le jour se lève, j’ai besoin de retrouver autour de moi toutes les personnes qui partagent ce magnifique et incroyable processus qu’est l’écriture d’un roman. Ce serait donc très égoïste de ma part d’ignorer leur collaboration et de faire croire au lecteur que j’ai créé seule l’œuvre qu’ils détiennent maintenant entre leurs mains. En premier lieu, j’aimerais donc remercier Patricia Campos pour son soutien inconditionnel, pour avoir lu tous les jours les rares ou nombreuses pages que j’écrivais, et pour avoir révisé le texte chaque fois que c’était nécessaire, sans jamais se plaindre et en m’offrant ses commentaires, toujours justes, ses critiques et ses suggestions. Je souhaite remercier ensuite José Miguel Baez, qui m’a apporté une aide inestimable pour les diverses traductions du grec et du latin et qui est le meilleur documentaliste au monde, capable de dénicher le fait le plus étrange dans le livre le plus étrange. La troisième place revient à Luis Peñalver, correcteur consciencieux et méticuleux du style, de l’intrigue et des faits historiques ; c’est le critique le plus dur que puisse avoir un écrivain. Je ne révélerai pas jusqu’où il est capable d’aller, mais tous ceux que je cite dans cette page connaissent d’inoubliables anecdotes à ce sujet qui nous ont fait beaucoup rire. Merci aussi à ces lectrices qui avec une étonnante fidélité ont lu le roman en feuilleton, et m’ont servi de cobayes : si elles n’arrivaient pas à suivre, alors le lecteur ne le pourrait pas non plus. Elles n’ont cessé de me stimuler : Lorena Sancho et Olga García (de Plaza et Janés).
    Je ne pourrais terminer sans mentionner mon éditrice préférée, Carmen Fernández de Blas. On dit que les deux choses les plus personnelles que possède un auteur sont son agent et son éditeur. C’est la vérité : Carmen est mon éditrice depuis que j’ai publié mon premier roman, et je l’ai toujours considérée comme telle, même si les hasards du petit monde de l’édition font qu’elle soutient, câline et protège aujourd’hui d’autres auteurs, comme elle l’a fait avec moi durant son magnifique passage chez Plaza et Janés. Qu’elle sache que je compte bien continuer à la désigner comme mon éditrice pour les siècles des siècles ! Amen.
     
     

 
     
    Numéro d’éditeur : 48680
    Dépôt légal : avril 2007
     
     
     
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