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Histoire Romaine

Histoire Romaine

Titel: Histoire Romaine
Autoren: Theodor Mommsen
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un aimable envoi de Catulle (50) : Le plus éloquent
des Romains, passés et à venir, le meilleur de tous les avocats . – Voilà
comme il l’appelle !
    [1589] [Il y a un fond vrai dans tout ce jugement ! Mais
quelle exagération, quelle sévérité à outrance ! Nous n’y reviendrons pas,
l’ayant maintes fois signalée. Sans doute, pour ne parler que de l’ Éthique ( de officiis ), elle est un remaniement, une imitation du traité perdu de
Panælius sur le Devoir . C’est Cicéron lui-même qui en convient ( de
off ., 3, 7 : ad fam ., 3, 11, 4 ; cf. de off ., 1, 9),
mais d’abord, il était toute une partie du livre grec restée inachevée, et que
Cicéron a écrite de son propre fond (3, 34), nous voulons parler du conflit
entre la vertu et l’utile. De plus, tout en suivant les divisions de son modèle,
il s’écarte souvent de ses doctrines, et se montre indépendant jusque dans son
éclectisme. – M. Mommsen a beau dire, le traité des Devoirs reste
un chef-d’œuvre à lire et à méditer sans cesse.]
    [1590] [ De lingua latina , déjà cité, en 24 livres, dont
il ne nous reste que 3 entiers, et 3 en fragments.]
    [1591] [ De sermone latino . – De synonimis . – De
antiquitate literarum . – De originibus lingue latinæ .]
    [1592] [ Quœstiones Plautinae . – De comædiis
Plautinis . – De scenicis originibus . – De actibus scenicis .]
    [1593] [Expression allemande d’école. Elle désigne les
recherches des institutions et des antiquités, et l’explication matérielle des
mots qui s’y rattachent.]
    [1594] [ Antiq. rerum human. et divin , cité par
Augustin de civit. Dei , VI, 2.]
    [1595] [ De gente populi Rom . – De initiis surb. Rom .
– De familiis Trojan.]
    [1596] [ De vita popul. Rom . – De republ . – Nam
nos in nostra urbe peregrinantes errantesque tanquam hospices tui libri quasi
in domum perduxerunt, ut possemus aliquando, qui et ubi essemus, agnoscere (Cicéron, Acad ., 1). Il faut lire tout le passage qui énumère les
travaux et les services de Varron : mais qui finit par un coup de patte de
rival en philosophie : ad impellendum salis, ad docendum parum . – Cf. Brut ., 15.]
    [1597] On en trouve un remarquable exemple au traité de
re rustica (2, 1). Il y divise la science du bétail en neuf fois trois
fois trois (neuf) parties  : plus loin il parle des cavales d’Olisipo (Lisbonne)
que le vent rend fécondes. Tout le chapitre contient un étrange pêle-mêle de
notions philosophiques, historiques et d’économie rurale.
    [1598] C’est ainsi qu’il fera dériver facere de facies ,
parce que faire, c’est donner figure à une chose : Volpes , renard,
vient, dit-il avec Stilon, de volare pedibus , voler des pieds. – Gaius
Trebatius, autre philologue et juriste contemporain, dérive sacellum de sacra
cella  ; Figulus, frater de fere alter , etc., etc. Et ce
ne sont point là des faits isolés : la manie étymologique constitue au
contraire l’élément principal de la philologie d’alors ; elle ressemble
fort à la méthode naguère encore usitée dans la linguistique comparée ; alors
que la théorie de la formation des langues demeurait encore un mystère, et qu’on
n’avait point chassé les empiriques du temple.
    [1599] [ De analogia , ou, selon Cicéron ( Brut .,
72) de ratione loquendi , en 2 livres, souvent cités par les grammairiens.
– Écrit par César dans les Alpes en revenant de ses quartiers d’hiver en Italie,
ce traité est perdu.]
    [1600] [Les Académiques , les Tusculanes , le De
finibus , etc.]
    [1601] [ De principiis numerorum , en 9 livres.]
    [1602] [ De re rustica , en 3 livres : nous les
possédons encore. Les Saserna , père et fils, ne nous sont connus
que par quelques citations de Varron, Columelle et Pline.]
    [1603] [ De jure civili , 15 livres.]
    [1604] [Pomponius parle des nombreux ouvrages (quelque chose
comme 180 livres) de Sulpicius Rufus ( Dig. de orig. Juris .,
ff. 2, 5, 43, cf. Cicéron, Brut ., 41). Il traita le droit, dit Cicéron, de
façon méthodique, et laissa de nombreux élèves. – Ennemi de César, d’abord, consul
en 703 [51 av. J.-C.], avec Marcus Marcellus, Sulpicius Rufus avait fini par se
réconcilier avec le vainqueur de Pharsale. (V. Otto : Thesaur , t. 5,
pp. 1545-1630, de vita, studiis scriptis et honoribus Serv. Sulpicii Rufi .). Jus civile semper ad aequitatem et facilitatem referebat (Cicéron, Philippiques ,
4, 15).]
    [1605] [Columelle, 12, 4, 2 et 44.]
    [1606] [Et l’un des
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