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L'histoire secrète des dalaï-lamas

L'histoire secrète des dalaï-lamas

Titel: L'histoire secrète des dalaï-lamas
Autoren: Gilles van Grasdorff
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Christian Bourgeois, Paris, 1997.
    WESSELS, C, Early Jesuit Travellers in central Asia 1603-1721 , La Haye, Martinus, Nijhoff, 1924 et réimprimé par Low Cos Publications, New Delhi, 1939.
    WU, HARRY, Retour au laogaï , Paris, Belfond, 1996.
    YA HANZHANG, The Biographies of the Dalai-Lamas , Beijing, Foreign Languages Press, 1991.
    YOUNGHUSBAND, FRANCIS EDWARD, India and Tibet , New York, Oxford University Press, 1985.
     
    Ouvrages de Sa Sainteté le quatorzième dalai-lama Tenzin Gyatso : Terre des dieux, malheur des hommes , entretiens avec Gilles Van Grasdorff, J.-C. Lattès, 1995. Mon pays et mon peuple , Genève, Olizane, 1984. Comme un éclair déchire la nuit , Paris, Albin Michel, 1984. Une politique de bonté , Vernègues, 1993. Kalachakra, enseignements, préliminaires et initiations , enseignements donnés à Barcelone, du 11 au 19 décembre 1994, éditions Vajra Yogini, 1997.

Photos
    Frontières du Tibet, de l'Inde et de la Chine

     
    Tashilhunpo, siège monastique des panchen-Iamas, une des plus hautes autorités du bouddhisme tibétain de l'école Gelug, celle des Bonnets jaunes. Sven Hedin se fait dessinateur, puis photographe pour saisir l'image de Tsongkhapa (A), le fondateur de l'école Gelugpa, au XVe siècle, dont sont issus le dalaï-lama et le panchen-Iama;

     
    puis, l'intérieur du mausolée du deuxième panchen-lama Sonam Chôklang (B); et, l'intérieur du cinquième panchen-lama Lobsang Yeshé (C).

     
    et, l'intérieur du cinquième panchen-lama Lobsang Yeshé (C).

     
    Explorateur, géographe, géopoliticien suédois, Sven Hedin effectua de nombreuses expéditions en Asie centrale. En 1899 et 1902, il explora le plateau tibétain, en essayant, en vain, d'atteindre Lhassa. Le 13 août 1906, partant de Leh, la capitale du Ladakh, et déguisé en Ladakhi, il entreprend un nouveau voyage qui le mènera, en février 1907, à Shigatsé, deuxième ville du Tibet et capitale du Tsang, près de laquelle se trouve Tashilhunpo, le monastère des panchen-Iamas.

     
    Ci-dessous le neuvième panchen-lama Choekyi Nyima. Il s'agit d'une des très rares photographies du maître de Tashilhunpo, qui, après de multiples différends avec le treizième dalaï-lama, fuira Tashilhunpo le 15 novembre 1923, pour finir sa vie en exil, sans jamais revoir son monastère de son vivant. Ce portrait de Sven Hedin porte la date de leur première audience, le 13 février 1907.

     
    Fondateur du groupe ésotérique Les Chercheurs de Vérité, Georges Ivanovitch Gurdjieff, ami et conseiller du treizième dalaï-lama, espion du tsar, pénètre en 1901 au Tibet, déguisé en Kalmouk bouddhiste d'Astrakhan

     
    Après deux exils, le premier en Mongolie, le second en Inde, le treizième dalaï-lama chassera les Mandchous de Lhassa et proclamera l'indépendance du Tibet, en 1913. Ce portrait du souverain tibétain a été pris, alors qu'il devait avoir une trentaine d'années.

     
    Ekai Kawaguchi, un bonze qui fut le premier Japonais à visiter le Népal, en 1899, avec la secrète intention de pénétrer au Tibet, arrive à Lhassa en 1901. Informateur de Sarat Chandra Das, son maître de tibétain devenu espion de Sa Gracieuse Majesté, Kawaguchi s'étonnera du libertinage qui polluait les lamasseries tibétaines en général. Arrêté et torturé par les Tibétains, Kawaguchi échappe de justesse à la mort. Il quitte Lhassa et rentre au Japon au mois de mai 1903.

     
    Nous sommes en février 1939. Les nazis arrivent à Lhassa. L'expédition est conduite par Ernst Schafer et, le photographe du moment, l'anthropologue Bruno Beger, immortalise cet instant. Au premier plan de cette vue générale de la capitale tibétaine, la Khyi-chu, le «rivière de la Félicité», dont les berges sont un lieu de promenade et de pique-nique fort prisé par la noblesse tibétaine.

     
    Document rare, le trône du dalaï-lama, dans sa résidence d'été du Norbulingka, le Potala étant sa résidence d'hiver.

     
    Svastika gravé dans la pierre à Lhassa (février 1938/mars 1939). Les Bonnets rouges ont pour sigle un svastika senestrogyre : dans la religion hindoue, il symbolise la nuit, les puissances magiques et Kali, la déesse de la Mort. Les Bonnets jaunes ont, eux, pour sigle, un svastika dextrogyre : il symbolise la course apparente du soleil, le feu ou encore la vie, puis par extension un signe de bon augure.

     
    En février 1939, l'expédition nazie conduite par Ernst Schafer franchit le chôrten de Lhassa : cet
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