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Les Bandits

Les Bandits

Titel: Les Bandits
Autoren: E. J. Hobsawm
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trace de sommes versées à
un certain R. Hood.
    [77] Janosik résista deux ans, Diego Corrientes trois, Musolino deux, la plupart des
brigands de l’Italie du Sud dans les années 1860 deux ans au maximum ; Giuliano
(1922-1950) tint sept ans, jusqu’au moment où il perdit la protection de la
Maffia.
    [78] Détail révélateur, certains chefs de bande légendaires sont souvent présentés
comme des individus faibles ou déficients, et sont rarement censés être les
plus forts de leur bande. « Car le Seigneur voulait nous prouver par son
exemple que tous ceux d’entre nous qui sont pusillanimes, humbles et pauvres,
peuvent accomplir des actions d’éclat si c’est la volonté de Dieu », I. Olbracht , Der Raüber Nicolas Chouhaj.
    [79] C.G. Harper, Half-Hours with the Highwaymen ,
vol. 2, Londres, 1908, p. 235.
    [80] A. T. Dos Santos , « Limpião, roi des
bandits », O Poeta garimpeiro, São Paulo, 1959.
    [81] N. MACEDO, Capitão Virgulino Ferreira da Silva : Lampiao , op. cit., p.
183.
    [82] Pour la source authentique de l’histoire, voir chapitre 7.
    [83] Voir P. LOZANO, « Los guerilleros del Tolima », Revista de las Indias,
vol. 1, n° 4, Bogota, 1936, p. 31.
    [84] Y. Kemal , Mehmed Le Mince .
    [85] Les Monténégrins, qui représentaient 1,4 % de la population yougoslave,
fournirent à l’armée des partisans 17 % de ses officiers.
    [86] O. Fals Borda et E. Umaña Luna, La Violencia en Colombia , op. cit., vol.
1, p. 182.
    [87] Ibid., vol. 2, p. 327-328 .
    [88] I. Olbracht , Berge v. Jahrhunderte ,
Berlin-Est, 1952, p. 82-83.
    [89] A. Dozon , Chansons populaires bulgares
inédites , Paris, 1875.
    [90] A. Strausz, Bulgarische Volksdichtlungen ,
Vienne/Leipzig, 1895, p. 295-297.
    [91] Néanmoins, aucun haïdouc n’a été, à ma connaissance, accusé de se livrer à des
pratiques anthropophagiques, que le public semble réserver aux criminels
considérés comme totalement coupés de la société normale, et qui consistent
généralement à vendre à des bouchers la viande des voyageurs abattus.
    [92] Les dacoïts de l’Inde étaient généralement considérés par les Britanniques
comme des « castes criminelles » ou des « tribus criminelles ». Mais, derrière
cette tendance bien connue qui consiste, en Inde, à donner à chaque groupe
social et professionnel une identité sociale distincte – phénomène communément
appelé « système de castes » –, on peut souvent percevoir quelque chose qui
n’est pas sans rappeler les haïdoucs. Les Badhaks, qui formaient la plus
célèbre des « tribus » de bandits du nord de l’Inde, étaient au début des
hors-la-loi d’origine musulmane et hindoue, « une espèce de caverne d’Hadullam
où étaient accueillis les vagabonds et les brebis galeuses de différentes
tribus ». Les Sansia, qui pourtant se recrutaient peut-être à l’origine parmi
les familles de bardes et de généalogistes, acceptaient d’autres membres sans
restriction. Et on pense que les redoutables Minas du centre de l’Inde étaient
au début des paysans dépossédés de leurs terres et des gardiens de village qui
avaient gagné les hauteurs pour devenir des brigands professionnels.
    [93] Le Brigandage en Macédoine , op. cit., p. 37. Sur l’absence
d’homosexualité chez les bandits brésiliens, voir E. De Lima , O Mundo Estranho dos cangaçeiros , op.
cit., p. 45.
    [94] A. Dozon, Chansons populaires bulgares inédites , op. cit., p. 184.
    [95] J. Baggalay , Klephtic Ballads , Oxford, 1936, p. 18-19 ; C. J. Jirecek , Geschichte
der Bulgaren , Prague, 1876, p. 474.
    [96] J. C. V. Engel , Staatskunde u. Geschichte von Dalmatien, Croatien u. Slawonien ,
Halle, 1798, p. 232.
    [97] M. Fedorowitsch , Die Slawen der Türkei , Dresde/Leipzig, 1844, p. 206.
    [98] J. Usang Ly, « Interprétation économique du développement du banditisme en
Chine », Journal of Race Development, 1917-1918, n° 8, p. 370.
    [99] L. Mota , No Tempo de Lampiiio , Rio,
1968, p. 55-56.
    [100] Voici, fait par
la police, l’inventaire de l’équipement de Lampiao (Brésil, 1938) :   Chapeau : cuir, style
campagnard, orné de six étoiles de Salomon. Lanière en cuir, 46 cm, avec 50
petits objets en or d’origine diverse : boutons de chemise, rectangles portant,
gravés, les mots de Souvenir, Amitié, Mal du pays, etc. ; bagues serties de
pierres précieuses ; alliance, le nom de Santinha gravé à l’intérieur. Sur le
chapeau, devant, une bande de cuir de 4 cm sur 22, avec les ornements suivants
:
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