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La danse du loup

La danse du loup

Titel: La danse du loup
Autoren: Hugues De Queyssac
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chef-lieu et dont les autres sont membres (nommées comenda en Italie, encomienda, en Espagne et Komtur en Allemagne).
     
    COMMODITÉ
    Agrément ou lieu où l’on peut faire ses ablutions (sur le mariage : la commodité est bien courte et le souci bien long…).
     
    COMPAIN
    Compagnon, qui partage le pain avec quelqu’un.
     
    COMPÈRE, commère
    Parrain, marraine de baptême.
     
    CONSUL
    Collège de magistrats (de 6 à 24 selon l’importance de la ville) qui assumait les responsabilités de la gestion dans les villes dites consulaires (Domme, Cahors, Sarlat, Périgueux, etc.).
     
    CONVERS (MOINE)
    Religieux (moine, moniale ou membre d’un ordre) voué à des activités matérielles.
     
    COQUARDEAU
    Sot, vaniteux.
     
    COQUART
    Coquin (péjoratif).
     
    COQUEFREDOUILLE
    Sotte.
     
    COQUILLE
    Braguette (souvent renforcée, pour les hommes, par une protection de l’appareil génital en forme de coquille).
     
    COTTE D’ARMES
    Tunique souple portée sur l’armure sur laquelle figurent les armoiries du combattant.
     
    COTTE DE MAILLE
    Chemise composée de petits anneaux de fer finement entrelacés sur une à trois épaisseurs superposées (voir haubert).
     
    COUDÉE
    Environ 50 cm (distance entre les coudes).
     
    COUILLARD
    Machine de jet à contrepoids la plus perfectionnée (XIVe – XVe s). Ses deux huches (ou bourses) articulées facilitent la manutention de l’engin en divisant par deux les charges à manier. La construction s’en trouve simplifiée puisqu’un seul poteau suffit, solidement fixé dans le sol ou, plus souvent, sur un châssis en bois. Les contrepoids des premiers couillards sont de grands sacs en cuir remplis de terre. Puis, ils sont remplacés par des huches en bois et en fer riveté, remplies de métal. Leur poids varie de 1,5 à 3 tonnes.
    1. Portée : jusqu’à 180 m
    2. Boulets : de 35 à 80 kg
    3. Cadence de tir : jusqu’à 10 coups/h
    4. Servants : 4 à 8 personnes, outre les artisans (artillerie névrobalistique)
     
    COURTINE
    Comprend deux acceptions.
    1. Sorte de rideaux pendus à l’intérieur des maisons, le long des murs ou autour d’un lit pour protéger du froid.
    2. Mur compris entre deux tours d’enceinte fortifiée.
     
    COUVRECHEF
    De toile fine ou grossière : coiffure la plus répandue, portée de jour et de nuit par les femmes et les hommes.
     
    CRÉNEAU
    Partie ouverte d’un parapet au-dessus d’un rempart ou d’une tour (par opposition à merlon).
     
    CROIX
    Cousue sur l’épaule droite lors de la première croisade.
     
    CUIR
    Pourpoint de chamois ou de cuir.
     
    DAME-JEANNE
    Grosse bouteille de grès ou de verre contenant de 20 à 50 litres, souvent clissée, utilisée pour le transport et le stockage d’un liquide.
     
    DESCHARPIR
    Déconfire, détruire, tailler en pièces.
     
    DÉCOLER
    Décapiter ; décolleter signifie dégager le cou (le col).
     
    DÉDUIT
    Jeu amoureux.
     
    DÉMONTÉ
    Cavalier ayant mis pied à terre, quel qu’il soit (s’emploie souvent à propos des gens d’armes), pour mieux combattre.
     
    DENIER
    Unité constituant avec la livre (tournois ou parisis), la base de tout le système monétaire. On taillait environ 240 deniers dans une livre d’argent.
     
    DÉPORTER
    Transporter un corps.
     
    DÉPRIS (OU DÉPRISEMENT)
    Mépris.
     
    DÉROBER
    Enlever sa robe à (quelqu’un).
     
    DESFORER
    Dégainer (il en vient le mot fourreau).
     
    DÉVERGOGNÉ
    Sans pudeur.
     
    DEXTRE
    Droit (à droite).
     
    DISSENTERIE
    Dysenterie.
     
    DROLASSE
    Mauvaise, méchante fille.
     
    DROLETTE
    Fille.
     
    DROMON (OU DRÔMON)
    Vaisseau de guerre à rames en usage en Méditerranée orientale jusqu’au XIIIe s.
     
    ÉCHELONS
    On parle aujourd’hui d’escadrons : fraction d’une troupe articulée en profondeur.
     
    ÉCU
    Le mot recouvre plusieurs sens.
    1. Bouclier porté par les hommes d’armes. Au XIIIe s., il est de grande dimension (targe), constitué de planches de bois recouvertes de cuir et de bandes de fer. Durant la bataille, l’écu est tenu par l’intermédiaire d’énarmes disposées à l’intérieur du bouclier. Une courroie (guigue) permet de le suspendre au côté.
    2. Support des armoiries, l’écu donne aussi son nom à la surface sur laquelle sont placés les métaux, les émaux, les fourrures, les meubles.
    3. Monnaie d’or à l’écu de France et à la croix fleuronnée, frappée par Saint-Louis de 1263 à 1266, puis régulièrement émise dont le poids initial de 4,19 g varia à mesure du
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