Duel de dames

Contamine, Hachette, 1989.
    La Vie quotidienne des religieux au Moyen Âge, Léo Moulin, Hachette, 1990.
     
    Sur Charles VI :
    Charles VI, Françoise Autrand, Fayard,
1992.
    Les rois qui ont fait la France,
Charles VI, Georges Bordonove, Pygmalion, 2006.
    Rois fous et sages, Anne Denieul, Librairie
Académique Perrin, 1974.
    Le Bal des Ardents, Charles VI, Pierre
Gascar, Gallimard, 1977.
    Le Roi empoisonné, Charles VI, D r Jean-Claude Lernaire, SPL, 1977.
     
    Sur Isabeau de Bavière :
     
    Histoire des reines de France, Isabeau de Bavière, Philippe Delorme, 2003.
    Les Reines de France, Paule Lejeune, Vernal-Lebaud,
1989.
    Isabeau de Bavière, Jean Markale, Payot,
1982.
    Isabeau de Bavière, Inès Nollier, Le
Rocher, 1996.
    Histoire secrète d’Isabelle de Bavière, Marquis de Sade, Gallimard, 1953.
     
    Sur la cour de Bourgogne :
     
    Les Grands Ducs de Bourgogne, Joseph
Calmette, Albin Michel, 1979.
    Splendeurs de la cour de Bourgogne, récits et
chroniques, Robert Laffont, « Bouquins », 1995.
     
    Autres biographies :
    Christine de Pisan, Régine Pernoud, Calmann-Lévy,
1982.
    Le Faiseur d’or, Nicolas Flamel, Léo
Larguier, J’ai lu, 1969.
    Olivier de Clisson, connétable ou chef de
parti breton ? Yvonig Gicquel, Bibliothèque celtique, 1981.
    Yolande d’Anjou, La reine des quatre royaumes, Jehanne d’Orliac, Librairie Plon, 1933.
     
    Dictionnaires, encyclopédies :
     
    L’Art du Moyen Âge, France Dupuis, Edita, 1996.
    Dictionnaire amoureux de la chasse, Dominique
Venner, Plon, 2000.
    Dictionnaire de l’ancien français, le Moyen Âge, Larousse, 1994.
    Dictionnaire étymologique et historique du
français, Larousse, 1994.
    Dictionnaire de la France médiévale, Jean
Favier, Fayard, 1993.
    Les Dynasties d’Europe, Héraldique et
généalogie des familles impériales et royales, Jiri Louda et Michael
Maclagan, Bordas, 1984.
    Encyclopédie médiévale, Viollet-le-Duc, Inter-Livres,
1993.
    La France médiévale : romantisme et
renouveau, Jacques Tealdi, Publitotal, 1980.
    Histoire de la vie privée, de l’Europe féodale
à la Renaissance, sous la direction de Philippe Ariès et Georges Duby, Le
Seuil, 1985.
    Paris à travers les âges, Hoffbauer, Inter-Livres,
1875.
    Le Petit Mourre, Bordas, 1994.
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    [1] Le Roman de la Rose est une œuvre poétique du XIII e  siècle
de 22 000 vers sous la forme d’un rêve allégorique. Il a été écrit en deux
temps : Guillaume de Lorris écrivit la première partie (4 058 vers)
en 1237, puis l’ouvrage fut complété par Jean de Meung (18 000 vers)
entre 1275 et 1280.
    [2] Bottes qui montaient jusqu’à mi-cuisses.
    [3] Ensemble de la maisonnée, serviteurs compris.
    [4] Livre des prières des heures carillonnées de la journée, souvent richement
enluminé. Le plus célèbre qui est parvenu jusqu’à nos jours : Les Très
Riches Heures du duc de Berry.
    [5] Surnom des conseillers de Charles V, bourgeois d’une grande intelligence
politique, que son fils Charles VI avait repris dans son gouvernement.
    [6] Voir, du même auteur, La Reine violée, tome 1 : Éclose
entre fleurs de lys.
    [7] Soit sept cents kilomètres.
    [8] Herbes médicinales.
    [9] Autre nom de l’épervier.
    [10] Entre 14 et 15 heures, suivant la saison.
    [11] Voir l’en-tête de ce chapitre.
    [12] Voir La Reine violée, tome 1 : Éclose entre fleurs de lys.
    [13] Dominicain, théologien, philosophe, chimiste et alchimiste allemand (v.
1206-1280, Cologne).
    [14] Proverbes français antérieurs au XV e  siècle. Le livre des
proverbes français, 1842.
    [15] Voir La Reine violée, tome 1 : Éclose entre fleurs de lys.
    [16] Début 1314, les belles-filles de Philippe le Bel furent convaincues
d’adultère avec les frères d’Aulnay. Ceux-ci furent châtrés, torturés et
pendus, les brus du roi tondues, vêtues de bures et jetées en prison. Ceux qui
furent soupçonnés de complicité furent exécutés.
    [17] Cape courte à chevaucher, avec capuche.
    [18] Poétesse de la fin du XII e  siècle.
    [19] La relevée marquait la fin du temps consacré au repos après le dîner à midi
(sixte).
    [20] Voir La Reine violée, tome 1 : Éclose entre fleurs de lys.
    [21] Guéridon de toilette surmonté d’une grosse vis, où s’articulaient deux bras
pivotants, supportant l’un des paniers d’accessoires divers, l’autre un miroir
d’argent poli, et qui se terminait par une tête sculptée où s’apprêtaient les
coiffures. L’ensemble paraissait