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Le kabbaliste de Prague

Le kabbaliste de Prague

Titel: Le kabbaliste de Prague
Autoren: Halter,Marek
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convenable. »
    Guemara, Gemara  : araméen,
« achèvement ». Désigne l’une des parties du Talmud , à savoir
les commentaires faits par les Amoraïm de la Mishna . Il y a une
Guemara pour le Talmud de Jérusalem et une autre pour le Talmud de Babylone.
    Hanoukha  : hébreu, « Fête de
l’Édification ». Fête des Lumières qui commémore la victoire des Asmonéens
sur les Séleucides, la purification du Temple de Jérusalem et le retour de la
liberté religieuse. Il est coutume d’allumer, dans un chandelier spécial ( hanoukiah ),
une bougie le premier soir, deux bougies le second soir, et ainsi de suite
jusqu’au huitième soir.
    Havdalah   : hébreu,
« séparation ». Prière récitée à la clôture du shabbat marquant le
passage à un jour de semaine ordinaire.
    Houppa  : hébreu. Dais nuptial symbolisant
le foyer fondé par les jeunes mariés.
    Kabbale  : hébreu, « réception »
ou « tradition ». Désigne un courant mystique né en Espagne et en
France méridionale au XIII e siècle, avec le Zohar dû à Moïse de Léon et pieusement attribué à rabbi
Shimon bar Yokhaï. La Kabbale, qui joua un grand rôle non seulement dans la vie
des communautés juives mais aussi dans les cercles humanistes, connut un
extraordinaire développement au XVI e siècle avec le MaHaRaL de Prague et Isaac Luria à Safed.
    Kippour, Yom Kippour  :
hébreu, « Jour du Grand Pardon ». Il a lieu dix jours après la
nouvelle année juive ( Roch Hachanah ). C’est le jour le plus saint et le
plus solennel du calendrier religieux juif. Un jeûne strict est observé pendant
vingt-quatre heures, du coucher du soleil le premier jour à la tombée de la
nuit le lendemain soir. Les rabbins insistent sur le fait que Yom Kippour
permet à l’homme d’expier ses péchés contre Dieu, mais non ceux commis contre
son prochain. À moins d’avoir demandé pardon à celui qu’on a offensé.
    Mazel Tov !  : hébreu, littéralement
« Belle constellation ! ». Interjection employée pour
« Félicitations ! », « Bonne chance ! ».
    Mélavveh malka, Melavé malkah  :
« accompagnement de la reine (Shabbat) ». Réunion et repas organisés
dans de nombreuses communautés le samedi soir après la récitation de la havdalah .
    Midrach, Midrash  : du verbe hébreu darash signifiant « interroger, examiner en profondeur ». Commentaire
rabbinique de la Bible ayant pour but d’expliciter divers points juridiques ou
de prodiguer un enseignement moral en recourant à divers genres littéraires
récits, paraboles et légendes.
    Mishna, Michnah  : hébreu,
« répétition », puis « étude ». Il désigne de manière
générale la loi orale rédigée par Yehuda Hanassi vers 200 de notre ère. La
Mishna est le point de départ du Talmud , une succession de paragraphes
suivis d’une discussion introduite par la Guemara . La Mishna ne contient
que le résultat final des discussions et polémiques rabbiniques.
    Roch Hachanah  : hébreu, littéralement
« Tête de l’année ». Nouvel An du calendrier juif débutant le 1 er  Tichri,
mois automnal de trente jours.
    Sanhédrin  : du grec
« synedrion », « (siéger à un) Conseil ». Hautes cours de
justice qui exercèrent pendant la dernière période du Second Temple et les
siècles suivants. Les controverses qui agitaient les tribunaux sur des points
de Halakah (loi juive) étaient soumises au Sanhédrin, qui tranchait le débat.
Le Sanhédrin établissait également le calendrier mensuel et annuel, fonction
importante pour maintenir l’uniformité religieuse entre Israël et la diaspora.
La procédure juridique du Sanhédrin est décrite de manière vivante dans le
traité de Sanhédrin de la Mishna . Les onze chapitres de ce texte sont
consacrés aux lois qui régissent la création et le fonctionnement des
tribunaux. Y sont étudiés les procès d’argent, les procès criminels, la
fiabilité des témoins, les crimes capitaux, l’exécution et même les droits du
roi et du grand prêtre en ce qui touchait leur fonction de juge.
    Shtibl  : yiddish, « petite
chambre ». Désigne une synagogue qui fait à la fois office de maison de
prières, de lieu d’études et de centre communautaire. Le shtibl, de dimensions
toujours modestes, se distinguait par l’austérité du décorum et la sobriété du
mobilier.
    Siracide  : livre de la Bible écrit
vers 200 avant notre ère appelé également l’ Ecclésiastique et qui
tient son nom
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